Accueil
Accueil | Forum | Livre d'or | Recommander | Lettre d'information | Infos Légales | Contact  .
Forum
Encyclopédie

Livre d'Or
Dialogues
Rechercher

Nous Aider
Contact



Annonces


Gaule
Orient
Express




Vous êtes dans Encyclopédie de l'Arbre Celtique > Celtes en Italie (Gaule Cisalpine) / Gaulois s'attaquent aux Étrusques et s'approprient l'Étrurie padane [-400:-350] / Sénons ravagent le territoire des Clusiens et assiègent Clusium [entre -390 et -387]
Retour
Encyclopédie Celtique

Les Sénons ravagent le territoire des Clusiens et assiègent Clusium [entre -390 et -387]

Les Sénons ravagent le territoire des Clusiens et assiègent Clusium (entre 390 et 387 av. J.-C.)

Tite-Live (Histoire romaine, V, 35), Diodore de Sicile (Bibliothèque historique, XIV, 113), Pline (Histoire naturelle, III, 116) et le Pseudo-Aurelius Victor (Les hommes illustres de la ville de Rome, XXIII, 5-6) s'accordent sur le fait que ce sont les Sénons qui ravagèrent le territoire des Étrusques clusiens entre 390/389 et 387/386 av. J.-C. (Cf. problème posé par la datation de cet événement), tout en précisant qu'ils étaient peut-être secondés par d'autres peuples gaulois (Tite-Live, Histoire romaine, V, 35). Loin de se contenter de piller les campagnes clusiennes, ils assiégèrent leur ville, Cleusin, la Clusium des Latins (l'actuelle Chiusi, Toscane) (Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XIII, 11 ; Tite-Live, Histoire romaine, V, 35 ; Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 113 ; Appien, Celtique, II). Nous savons par Tite-Live que depuis le règne de Porsenna, Clusium et Rome étaient liés pas un traité (506 av. J.-C.) (Histoire romaine, II, 15). Appien indique que c'est en vertu de ce même traité que les Clusiens dépêchèrent des députés auprès du Sénat de Rome, pour que les Romains lui vinssent en aide (Celtique, II) . Selon Tite-Live, les relations entre les Romains et les Clusiens n'étaient plus aussi bonnes, puisque Clusium n'avait pas apporté son aide à Rome lorsque celle-ci était en guerre contre Veii (403-396 av. J.-C.) (Histoire romaine, V, 35).

Après avoir reçu la députation des Clusiens, les Romains n'envoyèrent pas le soutien militaire attendu, mais le Sénat dépêchât trois députés ; Numerius Fabius Ambustus, Quintus Fabius Ambustus Vibulanus et Kaeso Fabius Ambustus. Tous trois étaient frères et issus de la gens Fabia (une illustre famille romaine). Les Fabii tentèrent d'intercéder afin que les Gaulois lèvent le siège de Clusium et se retirent du territoire des Clusiens, en les menaçant d'une guerre contre Rome en cas de refus (Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XIII, 12 ; Tite-Live, Histoire romaine, V, 35-36 ; Appien, Celtique, II). Les Gaulois ne furent guère impressionnés, rétorquèrent que Rome n'avait pas à se mêler de ce conflit, conflit motivé par le besoin de terres où s'installer (Tite-Live, Histoire romaine, V, 36 ; Dion Cassius, Histoire romaine, VII, fragment 56 ; Appien, Celtique, II). La discussion dégénéra, les Fabii incitèrent les Clusiens à se battre contre les Gaulois et prirent part à ce combat à leur côté. Dans ce cadre, plusieurs Gaulois furent tués dont un chef, des propres mains de Quintus Fabius Ambustus Vibulanus, l'un des ambassadeurs de Rome (Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XIII, 12 ; Tite-Live, Histoire romaine, V, 36 ; Dion Cassius, Histoire romaine, VII, fragment 56 ; Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 113 ; Appien, Celtique, II).

Considérant que cet acte était contraire à toute règle, Brennus, roi des Sénons, dépêcha des députés à Rome, pour réclamer, en réparation de ce crime, que les Fabii leur fussent livrés (ou seulement celui qui avait tué le chef gaulois selon Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 113, donc Quintus Fabius Ambustus Vibulanus). Le Sénat romain reconnut le caractère criminel de cet acte, mais refusa de livrer les trois frères, issus d'une illustre famille patricienne romaine (Tite-Live, Histoire romaine, V, 36 ; Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 113 ; Appien, Celtique, II). En compensation, le Sénat proposa d'indemniser les Gaulois en leur versant une importante somme d'argent ; proposition que ces derniers refusèrent, tout en réitérant leur demande qu'on leur livra le(s) coupable(s) (Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XIII, 12 ; Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 113 ; Appien, Celtique, II). Selon Diodore de Sicile, le Sénat se résolut à proposer de décréter l'extradition du coupable, mais se heurta à l'opposition de son père, Marcus Fabius Vibulanus, lequel était investi du pouvoir consulaire. Ce dernier (Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 113), ou le Sénat lui-même (Tite-Live, Histoire romaine, V, 36 ; Appien, Celtique, II) soumit cette décision au peuple, qui choisit, pour les protéger de l'extradition, d'en faire les tribuns consulaires pour l'année suivante.

Brennus et les Sénons furent indignés par la décision prise par les Romains. Bien décidés à ne pas laisser cet affront impuni, ils levèrent le siège de Clusium et se hâtèrent de prendre la route de Rome à la tête de 70000 hommes (Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XIII, 12 ; Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 114).

Sources textuelles anciennes

Appien, Celtique, II : "Dans la XCVIIe olympiade des Hellènes, la terre des Celtes ne suffisant pas à leur population, une bonne partie de ceux qui habitaient les bords du Rhin en sortit pour aller à la recherche d'un autre pays. Ils franchirent les monts Alpes et firent la guerre aux Clusins qui possédaient chez les Tyrrhéniens un fertile territoire. Il n'y avait pas longtemps que les Clusins s'étaient liés avec les Romains par un traité ; ils eurent recours à eux. Les Romains leur envoyèrent trois ambassadeurs de la famille Fabia, lesquels devaient signifier aux Celtes qu'ils eussent à quitter un pays ami des Romains ; et les menacer en cas de refus. Les Celtes répondirent qu'il n'y avait personne au monde dont les menaces ou les armes leur fissent peur, qu'ils avaient besoin de terres, et ne se mêlaient point encore des affaires de Rome. Les ambassadeurs, les Fabii incitèrent les Clusins à attaquer les ennemis occupés inconsidérément à ravager le pays ; et même se mettant en campagne avec eux, ils tuent un grand nombre de Celtes qui étaient au fourrage. Bien plus, l'ambassadeur Quintus Fabius tue le chef de cette troupe, le dépouille et revient à Clusium avec les armes qu'il lui avait prises."

Appien, Celtique, III : "Le roi des Celtes Brennus, quand les Fabii de Rome eurent ainsi tué plusieurs des siens, non seulement ne voulut plus recevoir des ambassadeurs romains, mais il en choisit lui-même qui étaient de nature à frapper de terreur. Les Celtes sont de haute taille : il prit les plus grands d'entre eux et les envoya à Rome. Accusant ces Fabii qui, chargés d'une ambassade, lui avaient fait la guerre contrairement aux lois communes (de l'humanité), il demandait que les coupables lui fussent livrés pour être punis, si les Romains ne voulaient se faire leurs complices. Les Romains reconnurent que les Fabii avaient eu tort ; mais par respect pour une noble maison, ils engagèrent les Celtes à n'exiger d'eux qu'une indemnité en argent. Sur le refus des Celtes, leurs suffrages donnent aux Fabii, avec le titre de chiliarques (tribuns militaires), le pouvoir consulaire pour une année ; ils déclarent aux ambassadeurs qu'ils ne peuvent plus rien contre les Fabii dès lors investis du pouvoir suprême,et ils les invitent à revenir l'année suivante, si leur ressentiment dure encore : Brennus et tous les Celtes sous ses ordres, indignés de ce qu'ils considèrent comme un outrage, envoient demander à tous les autres Celtes de se mettre avec-eux en cette pierre. Des alliés leur arrivent en foule ; ils lèvent le camp et marchent sur Rome."

Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XIII, 11 : "Le Tyrrhène leur dit que la contrée qui portait ces fruits était vaste, excellente, qu'elle n'était guère peuplée, et que, pour les choses de la guerre, les hommes qui l'habitaient ne valaient pas mieux que des femmes ; il leur suggéra de ne plus se procurer ces denrées en les achetant, mais de chasser du pays ceux qui en étaient les maîtres, et d'en recueillir les fruits comme étant leur propriété. Les Celtes en crurent ses paroles ; ils passèrent en Italie, et, parmi les Tyrrhènes, attaquèrent ceux qu'on appelait Clausins, peuple auquel appartenait leur donneur de conseils."

Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XIII, 12 : "On avait envoyé de Rome une ambassade aux Celtes. Un des ambassadeurs, Quintus Fabius, ayant appris que les Barbares étaient allés au fourrage, engage un combat avec eux et tue le général des Celtes. Les Barbares envoient à Rome demander l'extradition de l'agresseur ; ils veulent qu'on le leur livre avec son frère pour se venger sur eux des pertes qu'ils avaient faites. Comme le sénat traînait ses réponses en longueur, les Celtes se virent forcés de porter la guerre à Rome."

Dion Cassius, Histoire romaine, VII, fragment 56 : "Voici à quelle occasion eut lieu l'expédition des Gaulois : les Clusiens, qui avaient souffert de leur part tous les maux de la guerre, s'adressèrent aux Romains dans l'espoir d'en obtenir quelques secours, parce qu'ils n'avaient pas embrassé le parti des Véiens malgré leur communauté d'origine. Les Romains ne leur en accordèrent point, mais ils envoyèrent des députés aux Gaulois, pour traiter de la paix en faveur des Clusiens : la contestation ne portait que sur une petite portion du territoire, et la paix fut bien près de se conclure. Mais les Clusiens passèrent des négociations à un combat, où ils eurent pour auxiliaires les ambassadeurs romains. Les Gaulois, indignés de les trouver dans les rangs ennemis, commencèrent par envoyer, à leur tour, des députés aux Romains pour se plaindre : ceux-ci, loin de punir leurs ambassadeurs, les nommèrent tous tribuns militaires. Alors le courroux des Gaulois, d'ailleurs très prompts à s'emporter, fut à son comble : ils ne s'occupèrent plus des Clusiens et coururent droit à Rome."

Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 113 : "Les Celtes se partagèrent donc le territoire par tribus ; ceux connus sous le nom de Sénonois obtinrent la montagne la plus éloignée des Alpes et voisine de la mer. Mais comme cette région est très chaude, ils s'empressèrent bientôt d'en sortir, et, après avoir armé les jeunes hommes, ils les envoyèrent chercher un autre pays pour s'y établir. Ils pénétrèrent donc dans la Tyrrhénie au nombre d'environ trente mille hommes, et ravagèrent le territoire des Cauloniens (Clusiens). A cette même époque, le peuple romain envoya en Tyrrhénie des députés chargés de surveiller la marche des Celtes. Ces députés, arrivés à Clusium, furent témoins d'un combat et purent se convaincre que ces nouveaux ennemis étaient plus courageux que prudents, et ils se joignirent aux Clusiens pour les défendre contre les assiégeants. L'un de ces députés remporta même un grand succès, et tua de sa propre main un des chefs les plus renommés. Les Celtes, instruits de ce fait, envoyèrent une députation à Rome pour demander l'extradition du député qui avait injustement commencé la guerre. Le sénat engagea d'abord les envoyés des Celtes d'accepter de l'argent pour l'offense reçue ; comme ces derniers ne voulaient pas écouter cette proposition, on décréta qu'on leur livrerait le coupable. Mais le père de celui qui devait être ainsi livré était un des tribuns militaires investis du pouvoir consulaire ; il en appela au peuple, et, comme il avait une grande autorité sur la multitude, il la persuada d'annuler la sentence du sénat. Le peuple, qui jusqu'alors avait en toutes choses obéi au sénat, cassa ainsi pour la première fois un sénatus-consulte."

Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XIV, 114 : "Les députés des Celtes, de retour dans leurs camps, rapportèrent la réponse des Romains. Fortement irrités et appelant aux armes toutes les troupes de leurs tribus, les Celtes marchèrent sur Rome, au nombre de plus de soixante-dix mille hommes."

Pseudo-Aurelius Victor, Les hommes illustres de la ville de Rome, XXIII, 5-6 : "Peu après, alors que les Gaulois Sénons assiégeaient Clusium, une place d'Italie, après avoir abandonné leurs propres terres en raison de leur infertilité, trois Fabius furent envoyés de Rome pour mettre en demeure les Gaulois de lever le siège. L'un des Fabius s'avança sur la ligne de bataille, contrairement au droit des gens, et tua le chef des Sénons."

Tite-Live, Histoire romaine, V, 35 : "Enfin, les Sénons, qui vinrent en dernier, prirent possession de la contrée qui est située entre le fleuve Utens et l'Aesis. Je trouve dans l'histoire que ce fut cette nation qui vint à Clusium et ensuite à Rome ; mais on ignore si elle vint seule ou soutenue par tous les peuples de la Gaule Cisalpine. Tout, dans cette nouvelle guerre, épouvanta les Clusiens ; et la multitude de ces hommes, et leur stature gigantesque, et la forme de leurs armes, et ce qu'ils avaient ouï dire de leurs nombreuses victoires, en deçà et au-delà du Pô, sur les légions étrusques : aussi, quoiqu'ils n'eussent d'autre titre d'alliance ou d'amitié auprès de la république, que leur refus de défendre contre les Romains les Véiens, leurs frères, ils envoyèrent des députés à Rome pour demander du secours au sénat. Ce secours ne leur fut point accordé ; mais trois députés, tous trois fils de Marcus Fabius Ambustus, furent chargés d'aller, au nom du sénat et du peuple romain, inviter les Gaulois à ne pas attaquer une nation dont ils n'avaient reçu aucune injure, et d'ailleurs alliée du peuple romain et son amie. Les Romains, au besoin, les protégeront aussi de leurs armes; mais ils trouvent sage de n'avoir recours à ce moyen que le plus tard possible, et pour faire connaissance avec les Gaulois, nouveau peuple, mieux vaut la paix que la guerre."

Tite-Live, Histoire romaine, V, 36 : "Cette mission était toute pacifique; mais elle fut confiée à des députés d'un caractère farouche, et qui étaient plus Gaulois que Romains. Lorsqu'ils eurent exposé leur message au conseil des Gaulois, on leur fit cette réponse : " Bien qu'on entende pour la première fois parler des Romains, on les estime vaillants hommes, puisque les Clusiens, dans des circonstances critiques, ont imploré leur appui ; et, puisque ayant à protéger contre eux leurs alliés, ils ont mieux aimé avoir recours à une députation qu'à la voie des armes, on ne repoussera point la paix qu'ils proposent, si aux Gaulois, qui manquent de terres, les Clusiens, qui en possèdent plus qu'ils n'en peuvent cultiver, cèdent une partie de leur territoire ; autrement, la paix ne sera pas accordée. C'est en présence des Romains qu'ils veulent qu'on leur réponde : et s'ils n'obtiennent qu'un refus, c'est en présence des mêmes Romains qu'ils combattront, afin que ceux-ci puissent annoncer chez eux combien les Gaulois surpassent en bravoure les autres hommes ". Les Romains leur ayant alors demandé " De quel droit ils venaient exiger le territoire d'un autre peuple et menacer de la guerre, et ce qu'ils avaient affaire, eux Gaulois, en Étrurie " ; et les Gaulois ayant répondu fièrement " Qu'ils portaient leur droit dans leurs armes, et que tout appartenait aux hommes de courage ", les esprits s'échauffent, on court aux armes et la lutte s'engage. Alors, les destins contraires l'emportent sur Rome : les députés, au mépris du droit des gens, prennent les armes, et ce combat de trois des plus vaillants et des plus nobles enfants de Rome, à la tête des enseignes étrusques, ne put demeurer secret; ils furent trahis par l'éclat de leur bravoure étrangère. Bien plus, Quintus Fabius, qui courait à cheval en avant de l'armée, alla contre un chef des Gaulois qui se jetait avec furie sur les enseignes étrusques, lui perça le flanc de sa lance et le tua : pendant qu'il le dépouillait, il fut reconnu par les Gaulois, et signalé sur toute la ligne comme étant l'envoyé de Rome. On dépose alors tout ressentiment contre les Clusiens, et l'on sonne la retraite en menaçant les Romains. Plusieurs même émirent l'avis de marcher droit sur Rome ; mais les vieillards obtinrent qu'on enverrait d'abord des députés porter plainte de cet outrage et demander qu'en expiation de cette atteinte au droit des gens, on leur livrât les Fabius. Les députés gaulois étant arrivés exposèrent leur message : mais, bien que le sénat désapprouvât la conduite des Fabius, et trouvât juste la demande des Barbares, il n'osait point prononcer contre les coupables un arrêt mérité, empêché qu'il était par la faveur attachée à des hommes aussi considérables. Ainsi, pour n'avoir pas à répondre des malheurs que pourrait entraîner une guerre avec les Gaulois, il renvoya au peuple la connaissance de leur réclamation. Là, le crédit et les largesses eurent tant d'influence, que ceux dont on poursuivait le châtiment furent créés tribuns militaires, avec puissance de consuls pour l'année suivante. Cela fait, les Gaulois, justement indignés d'une pareille insulte, retournèrent au camp, en prononçant tout haut des menaces de guerre. Avec les trois Fabius, on créa tribuns des soldats Quintus Sulpicius Longus, Quintus Servilius pour la quatrième fois, Servius Cornélius Maluginensis."


Sources:
  • H. Hubert, Les Celtes, Albin Michel, Paris, 2001 (1ère édition 1932).
  • Julien Quiret pour l'Arbre Celtique

  • Autres fiches en rapport

    Attention
    Ceci est une ancienne version de l'encyclopédie de l'arbre celtique.
    Les liens ci-dessous, vous améneront vers la nouvelle version,
    complétement "relookée" intégrant une navigation plus aisée.


    Antiquités romaines [Denys d'Halicarnasse] [ ouvrages antiques & anciens ]
    Appien [ auteurs antiques et anciens ]
    assiéger une position ennemie [ la poliorcétique des Celtes ]
    bataille de l'Allia [-390 / -387] (La) [ L' expédition contre Rome [-390 / -386] ]
    Bibliothèque historique [Diodore de Sicile] [ ouvrages antiques & anciens ]
    Brennus (Sénon) [ Les personnages historiques ]
    Celtique [Appien] [ Histoire romaine [Appien] ]
    Denys d'Halicarnasse [ auteurs antiques et anciens ]
    Diodore de Sicile [ auteurs antiques et anciens ]
    Dion Cassius [ auteurs antiques et anciens ]
    expédition contre Rome [-390 / -386] (L') [ Les Celtes en Italie (Gaule Cisalpine) ]
    Histoire naturelle [Pline] [ ouvrages antiques & anciens ]
    Histoire romaine [Dion Cassius] [ ouvrages antiques & anciens ]
    Histoire romaine [Tite-Live] [ ouvrages antiques & anciens ]
    Pline l'ancien [ auteurs antiques et anciens ]
    prise de Felsina [vers -396/-386] (La) [ Les Gaulois s'attaquent aux Étrusques et s'approprient l'Étrurie padane [-400:-350] ]
    prise de Rome [-390 / -387] (La) [ L' expédition contre Rome [-390 / -386] ]
    Sénons [ Les peuples de Gaule Cisalpine ]
    Sénons s'établissent au bord de l'Adriatique [vers -365/-350] (Les) [ Les Gaulois s'attaquent aux Étrusques et s'approprient l'Étrurie padane [-400:-350] ]
    Tite-Live [ auteurs antiques et anciens ]
    Navigation
    Vers le niveau supérieurGaulois s'attaquent aux Étrusques et s'approprient l'Étrurie padane [-400:-350] (Les)
    Vers la fiche précédenteprise de Felsina [vers -396/-386] (La)
    Vers la fiche suivanteinstallation des Gaulois dans la basse-plaine du Pô [entre -390 et -386] (L')
     Rechercher:   (N.B. : Eviter les pluriels)


     Hyper thème:  


    Retour à la page Celtes en Italie (Gaule Cisalpine)



    Haut de page


    www.arbre-celtique.com
    Accueil | Forum | Livre d'or | Recommander | Lettre d'information | Infos Légales | Contact 


    IDDNSite protégé. Utilisation soumise à autorisationIDDN
    Conception : Guillaume Roussel - Copyright © 1999/2024 - Tous droits réservés - Dépôts INPI / IDDN / CNIL(1006349) / SCAM(2006020105)