Soif Celtique et ivresse Sacrée
Posté: Dim 28 Avr, 2002 10:02
Pour faire suite au message de GwynnHyFar
Voici un extrait du poème gallois intitulé Newid byd, " changement du monde " dans l’édition Ifor Williams(XI, 69) :
Avant que mon vêtement ne fût une peau dure de chèvre[chèvre qui aimait le houx], l’hydromel bouillant me fit perdre la tête.
Avant que mon vêtement ne fût une peau dure de chèvre [chèvre qui aimait le houx], l’hydromel des rives de la Tern m’enivra.
Après que mes frères [furent transportés] de la région de la Severn autour des deux rives de Dwyriw, malheur à moi, mon Dieu, que je sois encore vivante !
Après le temps des chevaux domptés et des vêtements de pourpre et des grands coussins de couleur jaune, ma jambe est devenue maigre. Je n’ai plus de quoi me couvrir.
2e extrait d’un morceau appelé Claf Abercuawg : « (VI, 1)
Mon esprit demande que je m’assoie sur la colline. Il ne m’exalte pas. Courte est ma route ; ma demeure est déserte .
Le vent est coupant ; nus sont les gardiens de vaches.
Quand le bois revêt une belle couleur d’été, aujourd’hui je suis très malade.
Je ne suis pas agile ; je ne possède pas d’armée ; je ne peux aller de-ci, de-là ; que le coucou chante tant qu’il lui plaira !
Le coucou bavard chante au long le jour, chant sonore dans les vallées de Cuawg. Mieux vaut le généreux que l’avare.
(….)
Le troupeau est dans l’abri, l’hydromel dans la bière ; le chemin est glissant ; l’averse fait rage ; le gué est profond, l’esprit médite la trahison
La trahison médite un acte maléfique ….
Un chaudron sera préparé pour le méchant quand le seigneur jugera, une longue journée. Sombre sera le mensonge ; le vrai est brillant.
Je pense que les Français en ce moment devraient s’enivrer avec de l’hydromel, cela leur éclaircirait les idées.
Et comme il est dit dans ce texte : « Sombre sera le mensonge ; le vrai est brillant »
Bhû
Voici un extrait du poème gallois intitulé Newid byd, " changement du monde " dans l’édition Ifor Williams(XI, 69) :
Avant que mon vêtement ne fût une peau dure de chèvre[chèvre qui aimait le houx], l’hydromel bouillant me fit perdre la tête.
Avant que mon vêtement ne fût une peau dure de chèvre [chèvre qui aimait le houx], l’hydromel des rives de la Tern m’enivra.
Après que mes frères [furent transportés] de la région de la Severn autour des deux rives de Dwyriw, malheur à moi, mon Dieu, que je sois encore vivante !
Après le temps des chevaux domptés et des vêtements de pourpre et des grands coussins de couleur jaune, ma jambe est devenue maigre. Je n’ai plus de quoi me couvrir.
2e extrait d’un morceau appelé Claf Abercuawg : « (VI, 1)
Mon esprit demande que je m’assoie sur la colline. Il ne m’exalte pas. Courte est ma route ; ma demeure est déserte .
Le vent est coupant ; nus sont les gardiens de vaches.
Quand le bois revêt une belle couleur d’été, aujourd’hui je suis très malade.
Je ne suis pas agile ; je ne possède pas d’armée ; je ne peux aller de-ci, de-là ; que le coucou chante tant qu’il lui plaira !
Le coucou bavard chante au long le jour, chant sonore dans les vallées de Cuawg. Mieux vaut le généreux que l’avare.
(….)
Le troupeau est dans l’abri, l’hydromel dans la bière ; le chemin est glissant ; l’averse fait rage ; le gué est profond, l’esprit médite la trahison
La trahison médite un acte maléfique ….
Un chaudron sera préparé pour le méchant quand le seigneur jugera, une longue journée. Sombre sera le mensonge ; le vrai est brillant.
Je pense que les Français en ce moment devraient s’enivrer avec de l’hydromel, cela leur éclaircirait les idées.
Et comme il est dit dans ce texte : « Sombre sera le mensonge ; le vrai est brillant »
Bhû