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Bonjour, les gaulois d'Esse auraient-ils réinventé le four solaire ?
J'imagine les croisés dans le désert de Syrie à 50° à l'ombre dans un équipement quasi équivalent
Et sous une pluie verglaçante ça fait koi ?
C'est vrai que les guerriers ne se battaient pas de Novembre à Mai

Merci Lucterios

Quant à Fourbos et Muskull vos railleries ne m'atteignent pas

Bonjour,

Par association d'idées _ Muskull & Pierre étant d'habiles rhétoriciens usant parfois de l'imparable flèche du Parthe _ et sans remonter aux croisades, la bataille de Carrhes (mai 53 av. JC) nous montre des cavaliers gaulois fortement incommodés par la chaleur, proche de la déshydratation, obligés de se replier malgré leur bravoure vers l'infanterie romaine. Il va sans dire que l'on peut se poser des questions sur l'état des cataphractaires parthes à ces mêmes instants...

Encore bravo aux Gaulois d'Esse et à Sedullos qui sait garder la tête froide en toutes circonstances...

Cordialement

@+


P.S. (dont on ne tiendra pas rigueur à son auteur) : "Feu mon camarade Edmond Quervalec, avait connu dans sa prime jeunesse une jolie femme de Maillé _ lieu de douloureuse mémoire _ ; celle-ci de moeurs légère ne se lassait pas de le mener par le bout du nez. Après maintes disputes et ma foi une rupture inéluctable, il me confiait parfois les yeux embués par le souvenir : " Cette cocotte de Maillé : elle était chaude, crois-moi !"

Salut,
La chaleur qui oblige à enlever le casque, la déshydratation et la soif des guerriers est à la fois une réalité brute et un topique des textes grecs sur la phalange, et curieusement aussi des textes irlandais ou scandinaves, cf un récit de la Bataille de Clontarf, où un des fils de Brian Boru cherche une source pour étancher sa soif.
On peut supposer que les Parthes supportaient mieux le soleil syrien que les Gaulois et les Romains.