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Vous êtes dans Approfondissements > Le druidisme / Rites et classe sacerdotale : inventaire des textes anciens / Divers éléments non classés
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Approfondissements : le druidisme

Divers éléments non classés - Textes en attente de traduction



  • Heiric d'Auxerre (IXe siècle): Homeliae per circulum anni, pars hiemalis, hom. 24.

Mais la religion chrétienne a bien transformé cette coutume de la purification, lorsque le jour même de la fête de la bienheureuse Marie le peuple, le clergé et les prêtres avec des cierges et des hymnes font le tour des lieux des églises, non pas du tout en souvenir d'une superstition païenne ou d'un empire terrestre, mais en mémoire éternelle du royaume céleste, quand, selon la parabole évangélique, tous les élus iront au devant de l'époux et de l'épouse avec des lampes et entreront dans la chambre de la clarté supérieure.




  • Antoine Diogène cité par Photius, Bibliothèque, 166, trad. René Henry, 1960, Paris, Les Belles Lettres, tome 2.

Ainsi commence le récit fait par Dinias à un certain Cymbas, originaire d'Arcadie, que la ligue arcadienne avait envoyé à Tyr pour demander à Dinias de revenir auprès d'eux dans son pays. Mais comme le poids de l'âge l'en empêchait, on lui fait raconter tout ce qu'il avait vu lui-même dans ses courses errantes, ce qu'il avait appris d'autres témoins et ce qu'il savait par les récits de Dercyllis à Thulé, c'est-à-dire sa course errante dont on a parlé, et comment, après son retour de l'Hadès avec Céryllos et Astraios, alors qu'elle était déjà séparée de son frère, elle était arrivée avec eux au tombeau de la Sirène ; il raconte ce qu'elle-même, à son tour, entendit raconter par Astraios sur Pythagore et Mnésarque, ce qu'Astraios lui-même avait entendu dire par Philotis et le spectacle fabuleux qui se manifesta dans ses yeux et enfin ce que Dercyllis, revenant à ses propres pérégrinations, lui raconta.

Le hasard la fit arriver dans une ville d'Ibérie dont les habitants voyaient la nuit, mais étaient aveugles chaque jour ; elle rapporte ce qu'Astraios, en jouant de la flûte, fit aux ennemis de ces gens-là. Relâchés en toute bienveillance, ils tombèrent chez les Celtes, peuplade cruelle et stupide ; ils s'échappèrent à cheval ; elle rapporte les aventures qui leur arrivèrent avec ces chevaux qui changeaient de couleur. Ils arrivèrent chez les Aquitains et on rapporte les honneurs que reçurent là Dercyllis et Céryllos mais surtout Astraios, à cause de ses yeux qui, se dilatant et se rétrécissant, annonçaient les phases de la lune ; il mit fin à la querelle des rois de ce pays pour le pouvoir : ils étaient deux et ils se succédèrent mutuellement suivant les phases de la lune. C'est pourquoi le peuple de ce pays se réjouissait de la présence d'Astraios et des siens. Vient ensuite le récit de tout ce que Dercyllis vit et endura encore. Elle fut menée chez les Artabres, un peuple où les femmes font la guerre tandis que les hommes gardent la maison et s'occupent des travaux féminins.

Ensuite vient ce qui leur arriva, à elle et à Céryllos, chez le peuple des Astures et les aventures qui furent celles d'Astraios en particulier ; tandis que, contre toute espérance, Céryllos et Dercyllis échappèrent à de nombreux dangers, chez les Astures, Astraios n'évita pas le châtiment qui lui était dû pour une faute ancienne ; mais, contre toute attente, il fut d'abord sauvé du danger, puis dépecé.




  • Justin, Histoires philippiques extraites de Trogue Pompée, XLIV, 3, trad. Charles Nisard, 1864, Paris, Firmin-Didot.

Plusieurs auteurs ont écrit qu'en Lusitanie, sur les bords du Tage, le vent féconde les cavales. Ce qui a donné naissance à cette fable, c'est la fécondité de ces animaux et leur multitude dans la Galice et la Lusitanie, où ils sont si légers qu'ils semblent à bon droit avoir été conçus par le vent même.




  • Tite Live : Histoire romaine, V, 46, 2, trad.: Annette Flobert, 1995, Paris, GF Flammarion.

Les Gaulois étaient médusés par ce courage qui tenait du prodige, peut-être furent-ils aussi retenus par un scrupule religieux, car ils sont d'une grande piété.




  • Tacite, Vie d'Agricola, 11, trad. J. L. Burnouf, 1903, Paris, Hachette.

Néanmoins, il est vraisemblable que les Gaulois s'établirent sur un sol si voisin de chez eux [la Bretagne]. On reconnaît leur culte dans les superstitions qui forment la croyance du pays.




  • Strabon, Géographie, IV, V, 4, trad. Edm. Cougny, 1986, Paris, Errance.

Pour ce qui est de l'anthropophagie, on dit que c'est une coutume scythique ; mais dans les besoins urgents de villes assiégées, les Celtes eux-mêmes, les Ibères et beaucoup d'autres ont eu recours, dit-on, à cette extrémité.




  • Strabon, Géographie, IV, IV, 3, trad. Edm. Cougny, 1986, Paris, Errance.

Voici une particularité qui est propre à leurs assemblées: si quelqu'un trouble l'orateur ou l'interrompt, l'appariteur s'avance l'épée nue, et avec menaces lui ordonne de se taire; si le perturbateur ne cesse pas, l'appariteur lui donne un second, un troisième avertissement, et finalement lui enlève un morceau de sa saie, assez grand pour mettre le reste hors de service. Quant au partage des travaux entre les hommes et les femmes, il se fait à l'inverse de ce qui a lieu chez nous; et c'est là un usage qui leur est commun avec bien d'autres parmi les barbares.




  • Pseudo-Scymnus, Circuit de la Terre, 183-187, trad. Didier Marcotte, 2000, Paris, Les Belles Lettres.

Les Celtes ont des coutumes qu'on trouve chez les Grecs, car ils entretiennent avec la Grèce des rapports très étroits, que scelle l'accueil fait aux hôtes qui en viennent. C'est en musique qu'ils mènent leurs assemblées, la cultivent pour sa vertu d'adoucir les mœurs.




  • Pomponius Mela, Chorographie, III, 6, 53, trad. Louis Baudet, 1843, Paris, Panckoucke.

Au delà de la Bretagne est l'île d'Iverna [Hibernie] [...] Ses habitants ne connaissent ni lois, ni vertus, ni religion.




  • Florus, Tableau de l'Histoire romaine de Romulus à Auguste, I, 33, trad. Paul Jal, 1967, Paris, les Belles Lettres.

Olyndicus [chef des Celtibères] agitant une lance d'argent qu'il prétendait envoyée du ciel, s'était, par son allure de prophète, gagné les esprits de tous.




  • Pline, Histoire Naturelle, III, 13.

Celticos a Celtiberis ex Lusitania advenisse manifestum est sacris, lingua, oppidorum vocabulis […]




  • Dioscorides, De la matière médicale, IV, 80, trad. Edm. Cougny, 1986, Paris, Errance.

Du smilax [l'if] : le smilax est appelé par d'autres thymalus, par les Romains taxus. […] Telle est l'influence de celui qui croît en Narbonnaise qu'à s'asseoir seulement ou à dormir sous son ombre on s'en trouve incommodé et, souvent même, on en meurt.




  • Avienus, Periplus Massiliensis, 644.

At rupis illud erigentis se latus,
Quod dedit amne, gentici cognominant
Solis columnam.




  • Servius, ad Virgilius Georg., IV, 218.

Pulchram mortem) gloriosam, quippe quae pro rege susciptur. Traxit autem hoc de Celtiberorum more, qui, ut in Sallustio legimus, se regibus devovent et post eos vitam refutant.




  • Nonius Marcellus, VIII, p. 492.

Galliae pro Gallicae. Sallustius hist. Lib. IV : " cum interim lumine etiamtum incerto duae Galliae mulieres conventum vitantes ad mestrua solvenda montem ascendunt ".

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