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La divination
Il [Brennus] n'avait pas de devin grec, et ne faisait pas usage de sacrifices de son propre pays, si vraiment les Celtes avaient un art de la divination.
Ils [les habitants de l'île de Silurie] vénèrent les dieux ; les hommes et les femmes ont la prétention de lire dans l'avenir.
Les nations barbares elles-mêmes n'ont pas négligé les diverses sortes de divination. La Gaule a ses druides, parmi lesquels j'ai connu Divitiacus l'Eduen, votre hôte et votre panégyriste, qui prétendait connaître les causes naturelles, science appelée physiologie par les Grecs, et prévoir l'avenir, partie par les augures, partie par conjecture.
Cependant Antigone [...] marche avec toutes ses forces contre les Gaulois. A cette nouvelle, les Gaulois se préparent au combat, en immolant des victimes pour interroger les auspices. Comme l'aspect des entrailles leur présageait un immense carnage et leur entière destruction, loin de s'en effrayer, ils entrent en fureur, et se flattent de détourner la menace des Dieux par le sang de leurs proches; ils massacrent leurs femmes et leurs enfants, et commencent l'accomplissement de la prédiction par le parricide. Une telle rage s'était emparée de ces âmes féroces, qu'ils n'épargnèrent pas même ceux dont l'âge est respecté par l'ennemi: ils firent à leurs enfants, aux mères de leurs enfants, cette guerre d'extermination qu'on ne fait d'ordinaire que pour les défendre. Alors, comme assurés par ce crime de la vie et de la victoire, tout souillés du sang des leurs, ils marchent au combat. L'événement répondit au présage. Pendant l'action, et déjà la proie des furies vengeresses, avant d'être celle de l'ennemi, poursuivis par les spectres ensanglantés de leurs victimes, ils périssent tous jusqu'au dernier. Ce carnage fut tel, que les Dieux semblaient avoir agi de concert avec les hommes pour exterminer ces parricides.
" Autrefois, disait-on, Rome avait été prise par les Gaulois; mais la demeure de Jupiter était restée debout, et l'empire avec elle. Ces flammes, au contraire, le destin les avait allumées comme un signe de la colère céleste et un présage que la souveraineté du monde allait passer aux nations transalpines. " Telles étaient les vaines et superstitieuses prédictions des Druides.
Les Gaulois, dont la population était si nombreuse que leur territoire ne pouvait plus les nourrir, avaient envoyé trois cent mille d'entre eux chercher des habitations nouvelles dans des contrées étrangères. Les uns s'arrêtèrent en Italie, prirent Rome et l'incendièrent; d'autres, guidés par le vol des oiseaux (car de tous les peuples les Gaulois sont les plus instruits dans la science augurale), pénétrèrent en Illyrie, et, après avoir fait un carnage effroyable des barbares, ils s'établirent dans la Pannonie.
Les Tectosages, de retour à Toulouse, leur antique patrie, y furent attaqués d'une maladie pestilentielle, et ne purent en être délivrés qu'après avoir, sur l'ordre des aruspices, jeté dans le lac de cette ville l'or et l'argent recueillis dans leurs déprédations sacrilèges. Longtemps après, ces richesses furent retirées par Cépion, consul romain. L'argent montait à cent dix mille livres pesant, et l'or à cinq millions. Cet autre sacrilège fut cause, dans la suite, de la perte de Cépion et de son armée; et l'invasion des Cimbres vint à son tour venger sur les Romains l'enlèvement de ces trésors sacrés.
Là survint une éclipse de lune, et les Galates, qui depuis longtemps supportaient avec peine les fatigues des marches, d'autant qu'ils faisaient la campagne avec leurs femmes et leurs enfants, qui les suivaient dans des chariots, virent dans ce phénomène un prodige et déclarèrent qu'ils n'iraient pas plus loin.
Vous aussi, poètes dont les éloges conduisent à l'immortalité les âmes des braves enlevés par la guerre, vous avez semé sans crainte de nombreux chants, ô bardes, et vous, druides, vous avez repris loin des armes vos rites barbares et la coutume sinistre des sacrifices. A vous seuls est donné de connaître les dieux et les puissances du ciel, ou à vous seuls de les ignorer. Vous habitez des retraites écartées.
à I 447 : vos quoque etc.) vos quoque bardi. Bardi Germaniae gens, quae
dixit viros fortes post interitum fieri inmortales. Qui nunc securi decedente
Caesare scribere vacant vel cantare.
Les Gaulois les [la verveine, mâle et femelle] utilisent toutes deux pour tirer les sorts et annoncer les prophéties.
[ ] Les Celtes, d'après ceux qu'ils appèlent Druides, s'adonnent aussi à l'art de la prophétie et à la sagesse en général. Dans tous ces cas, les rois ne sont pas autorisés à faire ou à envisager quoi que ce soit sans l'aide de ces hommes sages, au point que, en vérité, c'était eux qui gouvernaient, alors que les rois étaient leurs serviteurs et ministres de leurs volontés [ ].
En effet, aucun Indien, Celte ou Egyptien, n'eut d'idées semblables à celles d'Evhémère de Messène ou de Diogène de Phrygie, d'Hippon, de Diagoras, de Sosias ou d'Epicure. Les barbares que je viens d'évoquer disent que les dieux existent, qu'ils s'occupent de nous et qu'ils indiquent à l'avance ce qui se produira, par l'entremise d'oiseaux, de signes, par les entrailles des animaux et autres moyens que l'on peut apprendre et enseigner: ces signes sont par conséquent pour les hommes une source de connaissance que leur offre la providence divine. Ils disent en outre que de nombreux événements sont aussi annoncés à l'avance par des rêves ou par les astres eux-mêmes. Ils nourrissent une foi solide en ces choses et offrent des sacrifices en toute pureté, se gardent pieusement de toute souillure, célèbrent des rites d'initiation, respectent la tradition des mystères et suivent également les autres coutumes, si bien qu'on s'accorde à dire qu'ils vénèrent et honorent les dieux avec grande conviction.
Ces hommes sont d'un aspect effrayant; leur voix a un son grave et des intonations tout à fait rudes; dans la conversation, leur parole est brève, énigmatique, procédant par allusions et sous-entendus, souvent hyperbolique, quand il s'agit de se grandir eux-mêmes et d'amoindrir les autres. Ils ont le ton menaçant, hautain, tragique, et, pourtant, l'esprit pénétrant et non sans aptitude pour les sciences. Il y a chez eux même des poètes lyriques, qu'ils nomment bardes: ces poètes accompagnent avec des instruments semblables à des lyres leurs chants qui sont tantôt des hymnes, tantôt des satires. I1 y a aussi des philosophes et des théologiens à qui on rend les plus grands honneurs et qui se nomment druides. Enfin ils se servent de devins à qui ils accordent une grande autorité. Ces devins, c'est par l'observation des oiseaux et par l'immolation des victimes qu'ils prédisent l'avenir, et ils tiennent toute la population sous leur dépendance. Mais c'est quand ils consultent [les présages] pour quelques grands intérêts, c'est alors surtout qu'ils suivent un rite bizarre, incroyable. Après avoir consacré un homme, ils le frappent avec une épée de combat dans la région au-dessus du diaphragme, et quand la victime est tombée sous le coup, ils devinent l'avenir d'après la manière dont elle est tombée, l'agitation des membres et l'écoulement du sang. C'est un genre d'observation ancien, longtemps pratiqué et en qui ils ont foi. La coutume est chez eux que personne ne sacrifie sans l'assistance d'un philosophe; car ils croient devoir user de l'intermédiaire de ces hommes qui connaissent la nature des dieux, et parlent on pourrait dire leur langue, pour leur offrir des sacrifices d'actions de grâces et implorer leurs bienfaits. Non seulement dans les nécessités de la paix, mais encore et surtout dans les guerres, on se confie à ces philosophes et à ces poètes chantants, et cela, amis comme ennemis. Souvent, sur les champs de bataille, au moment où les armées s'approchent, les épées nues, les lances en avant, ces bardes s'avancent au milieu des adversaires et les apaisent, comme on fait les bêtes farouches avec des enchantements. Ainsi chez les barbares les plus sauvages la passion cède à la sagesse et Arès respecte les Muses.
Il y a encore quelque chose de plus fabuleux dans les récits d'Artémidore; c'est l'histoire des corbeaux. Il raconte qu'il y a sur la côte de l'Océan un port dit des deux corbeaux, qu'on y voyait en effet deux corbeaux ayant l'aile droite blanchâtre; que ceux qui avaient quelque contestation venaient en cet endroit et plaçaient sur un lieu élevé une planche avec des gâteaux dessus, chacun ayant à part les siens, que les oiseaux s'abattant sur ces gâteaux mangeaient les uns et dispersaient les autres, que celui-là était vainqueur, dont les gâteaux avaient été dispersés. Voilà une histoire qui ressemble bien trop à une fable [...]
Ils [les autres peuples] se servent de presque toutes les espèces d'oiseaux, nous d'un tout petit nombre. Ce qui est sinistre pour eux ne l'est pas pour nous. Dejotarus m'interrgeait souvent sur les règles adoptées par nos augures, et moi je m'enquerrais de celles qu'il suivait.
Ai-je besoin de vous rappeler un nom illustre et vénéré, celui de notre hôte le roi Dejotarus ? Vous savez que ce prince n'entreprend rien sans avoir consulté les auspices. Un jour, averti par le vol d'un aigle, il interrompit un voyage projeté et commencé ; et la chambre où il aurait dû coucher, s'il n'était pas revenu sur ses pas, s'écroula la nuit suivante. Je l'ai entendu dire qu'il avait souvent ainsi discontinué d'autres voyages entrepris depuis plusieurs jours. Mais ce qu'il y a de plus beau dans sa conduite, c'est que, dépouillé de sa tétrarchie, de son royaume et de ses richesses par César, il persiste à ne pas se repentir d'avoir suivi les auspices qui l'engagèrent à embrasser la cause de Pompée ; fidèle à son devoir et à la foi jurée, il trouve que les oiseaux l'ont bien conseillé, puisqu'il a défendu, les armes à la main, l'autorité du sénat, la liberté du peuple romain et la dignité de l'empire [ ].
Le roi Deiotarus, qui ne faisait rien sans consulter les auspices, dut son salut à un aigle, dont la vue l'empêcha d'entrer dans une maison, qui, la nuit suivante, s'écroula toute entière (An de Rome 700).
[ ] Si nous considérons les événements que les oiseaux pouvaient annoncer à Dejotarus, il furent tous funestes ; si nous considérons la gloire de son dévouement, c'est sa vertu qui l'inspira et non les auspices.
Quand elle [Bouddica] eut fini de parler, elle procéda à une sorte de divination, laissant s'échapper un lièvre d'un pli de sa robe; et comme il courut dans une direction qu'ils considéraient comme de bon augure, toute la multitude s'exclama de joie, et Bouddica, levant la main vers le ciel, dit: " je te remercie, Andrasta, et fait appel à toi, comme une femme parle à une femme. [suit un long discours contre les Romains]. Mais pour nous, Maîtresse, puisses-tu être notre seule conductrice ". [...] Tout cela, ils le firent en accompagnement de sacrifices, de banquets et de comportements impudiques, pas uniquement dans tous leurs autres lieux sacrés, mais particulièrement dans le bois d'Andate. C'était pour eux le nom de la Victoire, et ils en faisait l'objet d'une vénération exceptionnelle.
[...] il [Tibère] consulta, près de Padoue, l'oracle de Géryon, qui lui dit de jeter les dés d'or dans la fontaine d'Apone, pour apprendre ce qu'il voulait savoir. Il le fit, et du coup il amena le nombre le plus élevé. On voit encore aujourd'hui ces dés dans l'eau.
Crispinus, dit-on, ne persévérait si fortement à poursuivre la guerre commencée que parce qu'il y avait dans la ville un grand nombre d'aruspices, d'hommes habiles à lire dans les entrailles des victimes, et qu'ils donnaient les plus favorables augures. Les Italiens ont la plus grande confiance dans ces consultations mystérieuses. On publiait en outre quelques oracles qui annonçaient que le Dieu de la patrie promettait la victoire. Ils appellent ce dieu Belenos, l'honorent d'un culte presque fanatique, et prétendent que cette divinité n'est autre qu'Apollon. Quelques soldats de Maximin affirmaient que l'image de ce dieu leur était apparue dans les airs, combattant pour la défense de la ville. Je ne puis dire s'ils avaient vu réellement cette apparition, ou s'ils le supposaient, pour qu'une si grande armée n'eût pas à rougir de n'avoir pu résister à une troupe de citoyens bien inférieure en nombre, et qu'elle parût avoir été vaincue par les dieux et non par les hommes.
Donc, selon Dioclétien, Aurélien avait un jour consulté les druidesses gauloises pour leur demander si l'empire resterait aux mains de ses descendants, mais elles auraient répondu que personne n'aurait dans l'Etat un nom plus éclatant que les descendants de Claude.
A son [Alexandre] départ [pour la guerre], une druidesse lui cria en gaulois : " Vas-y, mais n'espère pas la victoire et méfie toi de tes soldats. "
Dioclétien, m'a-t-il raconté, qui n'avait encore qu'un grade subalterne, se trouvait chez les Tongres, en Gaule, et séjournait dans une auberge. Il faisait un jour le compte de ses dépenses quotidiennes avec son hôtesse, une druidesse, qui lui dit : " Dioclétien, tu es trop ladre, trop parcimonieux. " Sans parler sérieusement, Dioclétien lui répondit, sous forme de plaisanterie : " je serai prodigue quand je serai empereur. " A ces mots, la druidesse répliqua : " ne plaisante pas, Dioclétien, car tu seras empereur quand tu auras tué un sanglier. "
Si et de nocturnis imaginibus opponitur saepe non frustra mortuos visos - nam et Nasamonas propria oracula apud parentum sepulcra mansitando captare, [ ] et Celtas apud virorum fortium busta eadem de causa abnoctare, ut Nicander affirmat -, non magis mortuos vere patimur in somnis quam vivos.
Je ne parle point de ces voix que les démons, sous le nom de cet Apollon, font sortir du fond d'une grotte qui en mugit, et du milieu d'un trépied qui en est ébranlé, lesquelles par mille détours viennent effrayer vos oreilles et abuser vos esprits.
Il n'est pas permis de faire appel aux sortilèges ou aux augures, ni d'avoir recours aux magiciens ; ni non plus aux sorts qu'on appelle " des saints ", ni à ceux tirés de morceaux de bois ou de morceaux de pain ; mais tout ce que l'on veut faire, qu'on le fasse au nom du Seigneur.
Nous avons appris que les chrétiens consultent les augures, ce qui est comparable au crime des païens. Il y en a aussi qui prennent leur nourriture avec les païens. Ceux-là, il a été décidé de les persuader, par un avertissement bienveillant, de revenir de leurs anciennes erreurs. Mais s'ils n'en tiennent pas compte et se mêlent aux idolâtres et aux sacrificateurs, qu'ils s'acquittent d'un temps de pénitence.
Confirmant une ordonnance de son Père, [Carloman] décrète que quiconque aura, en quelque manière, observé les coutumes païennes, sera condamné à une amende de quinze sous... IL - Récapitulation des superstitions et des coutumes païennes. " Des sacrilèges commis auprès des sépultures.
Exhortez toujours, je le répète, vos fils et toutes vos familles à mener une vie chaste, pieuse et sobre, incitez-les aux bonnes uvres par vos exemples aussi bien que par vos exhortations. Surtout, où que vous soyez, chez vous ou en voyage, dans un festin ou dans la solitude, n'ayez jamais à la bouche de paroles indécentes ou obscènes, mais plutôt invitez sans cesse vos voisins et vos proches à rechercher la correction et l'honnêteté dans leurs propos, de peur que leur langue, qui devrait louer Dieu, ne leur inflige des blessures, s'ils calomnient et médisent, s'ils dansent et entonnent des chansons impudiques et obscènes pendant les fêtes sacrées. Car ils sont des malheureux, des misérables ceux qui dansent sans crainte et sans rougir juste devant les églises des saints. Même s'ils viennent à l'église chrétiens, ils s'en retournent païens, car la coutume de danser est un reste du culte païen. Vous voyez déjà ce que vaut ce chrétien qui, venu à l'église pour prier, néglige la prière et n'hésite pas à proférer les formules sacrilèges des païens; demandez-vous tout de même, mes frères, s'il est juste que de cette bouche chrétienne où pénètre le corps du Christ, il sorte une chanson obscène, une espèce de poison diabolique. Surtout, faites à autrui ce que vous voudriez qu'on vous fît et ne faites à personne d'autre ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fît. En exécutant ce commandement, vous pouvez délivrer votre âme de tout péché, car même celui qui ne sait pas lire peut avoir ces deux commandements présents à l'esprit et, avec l'aide de Dieu, il peut et il doit les réaliser dans sa vie. J'ai beau être persuadé que, guidés par Dieu, vous avez su corriger et faire disparaître de ces lieux cette coutume funeste, reste du culte impie des païens, toutefois si vous connaissez encore des gens qui se chargent de la plus repoussante des souillures en se déguisant en vieille femme ou en cerf, réservez-leur un châtiment si sévère qu'ils se repentent d'avoir commis un sacrilège. Et si vous savez que certains ont gardé l'habitude de pousser des hurlements quand la lune est à son déclin, tancez-les eux-aussi, en leur montrant qu'ils commettent un péché grave en s'imaginant qu'ils peuvent, par leurs hurlements ou leurs maléfices d'une audace sacrilège, secourir la lune qui s'obscurcit aux temps fixes selon la volonté de Dieu. Et si vous voyez encore quelques-uns adresser des vux aux fontaines ou aux arbres ou interroger, comme nous l'avons dit, des magiciens, des devins ou des enchanteurs, ou suspendre à leur cou, ou au cou de leurs proches, des amulettes diaboliques, des caractères magiques, des herbes ou des pièces d'ambre, blâmez-les avec la dernière sévérité, en leur disant que tous ceux qui commettent ce péché perdent le sacrement du baptême. Nous avons aussi entendu dire qu'il y a des hommes et des femmes aveuglés à tel point par le diable que le cinquième jour de la semaine les hommes ne travaillent pas dans les champs et les femmes ne filent pas la laine, et nous affirmons devant Dieu et ses anges que tous ceux qui agissent ainsi seront, s'ils ne corrigent pas cette idolâtrie si grave par une longue et dure pénitence, condamnés à brûler là où le diable brûlera. Car ces malheureux, ces misérables qui en l'honneur de Jupiter s'abstiennent de travailler le cinquième jour s'adonnent certainement aux mêmes travaux le dimanche, sans honte et sans inquiétude. Châtiez donc très sévèrement tous ceux qui à votre connaissance vivent ainsi. S'ils ne veulent pas se corriger, ne leur parlez pas et ne mangez pas avec eux. S'ils vous appartiennent, vous devez même les fouetter afin que ceux qui ne pensent pas au salut de leur âme craignent au moins la meurtrissure de leur corps. Nous autres, chers frères, nous vous avertissons avec la sollicitude d'un père, connaissant bien notre propre péril. Si vous voulez nous écouter, vous nous causez une grande joie, et vous parviendrez heureusement au royaume des cieux. Que celui qui vit et règne avec le Père et le Saint-Esprit au siècle des siècles daigne nous accorder ce don. Amen.
42. On doit demander s'il y a des magiciens, des aruspices, des devins, des
enchanteurs.
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