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Vous êtes dans Encyclopédie de l'Arbre Celtique > Celtes en Italie (Gaule Cisalpine) / nouvelle expédition gauloise menace Rome [-350:-349] / bataille des marais Pontins [printemps -349]
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Encyclopédie Celtique

La bataille des marais Pontins [printemps -349]

La bataille des marais Pontins (printemps 349 av. J.-C.)

Après leur hivernage sur les monts Albains, les Gaulois affrontèrent les pirates grecs qui pillaient la portion littorale du Latium. Au moment où Lucius Furius Camillus et Appius Claudius Crassus Inregillensis furent élus consuls, les troupes gauloises s'établirent au niveau de l'ager Pomptinus, les actuels Marais Pontins dans le Latium (Tite-Live Histoire romaine, VII, 25 ; Florus, Abrégé de l'Histoire romaine, I, 13 ; Annales pontificales, 26). Depuis cette région, ils se livraient à des pillages (Tite-Live, Histoire romaine, VII, 25) et menaçaient Rome (Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XV, 1). Inquiets de la présence de ces Gaulois, les Romains effectuèrent des levées de troupes, non-sans difficultés. En effet, les Latins refusèrent d'apporter leur contribution aux Romains, et ce fut donc seuls qu'ils réunirent 60000 hommes. Constituée de dix légions, cette armée fut confiée au consul Lucius Furius Camillus et prit la route de l'ager Pomptinus (Eutrope, Abrégé de l'Histoire romaine, II, 3).

Alors que les deux armées se faisaient face et s'organisaient en lignes de bataille, le chef des Gaulois s'avança un javelot à la main. Là, il invita le plus fort des Romains à venir l'affronter (Cf. fiche consacrée aux duels et combats singuliers), et le tribun militaire Marcus Valerius se porta volontaire. Alors que le combat débutait, un corbeau serait venu se poser sur la casque du tribun (ou son bras droit), avant de bondir au visage du chef gaulois et de lui infliger de nombreuses et graves blessures. Aidé par ce corbeau, qui empêchait le son adversaire de se battre et de se défendre, tout en le mutilant, le tribun vainquit le chef gaulois et l'égorgea (Annales pontificales, 26 ; Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XV, 1 ; Dion Cassius, Histoire romaine, VII, fragment 73 ; Eutrope, Abrégé de l'Histoire romaine, II, 3 ; Florus, Abrégé de l'Histoire romaine, I, 13 ; Julius Obsequens, Livre des prodiges, XXI ; Orose, Histoires contre les païens, III, 6 ; Pseudo-Aurelius Victor, Des hommes illustres de la ville de Rome, XXIX ; Tite-Live, Histoire romaine, VII, 26).

Pendant que Marcus Valerius dépouillait le cadavre du Gaulois, les Romains coururent vers le vainqueur, tandis que les Gaulois se précipitèrent pour venger leur chef. Immédiatement, les soldats qui occupaient les avant-postes des deux armées s'affrontèrent, après l'ensemble des troupes s'engagea à son tour dans la mêlée. Galvanisés par l'exploit du tribun militaire, et convaincus de bénéficier du soutien des dieux, les Romains allèrent au combat avec entrain. Les affrontements ne furent acharnés que ponctuellement, sur les avant-postes. Tandis que les Romains prenaient le dessus, les rangs gaulois les plus en retrait finirent par se désengager, puis l'armée toute entière (Tite-Live, Histoire romaine, VII, 26).

Compte-tenu de sa victoire miraculeuse contre le chef gaulois, le consul Lucius Furius Camillus fit publiquement l'éloge de Marcus Valerius, lui offrit dix boeufs, lui décerna une couronne d'or et lui attribua le surnom de Corvinus (du latin coruus "corbeau") (Annales pontificales, 26 ; Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XV, 1 ; Dion Cassius, Histoire romaine, VII, fragment 73 ; Eutrope, Abrégé de l'Histoire romaine, II, 3 ; Florus, Abrégé de l'Histoire romaine, I, 13 ; Julius Obsequens, Livre des prodiges, XXI ; Orose, Histoires contre les païens, III, 6 ; Pseudo-Aurelius Victor, Des hommes illustres de la ville de Rome, XXIX ; Tite-Live, Histoire romaine, VII, 26).

De leur côté, les Gaulois quittèrent le Latium, pour se disperser à travers le territoire des Volsques et le Falernum, avant de regagner l'Apulie et les rivages de l'Adriatique (Tite-Live, Histoire romaine, VII, 26).

Sources littéraires anciennes

Annales pontificales, 26 : "Un jeune homme d'une telle famille est fait tribun militaire sous le consulat de L. Furius et d'Appius Claudius. Or à ce moment-là des troupes immenses de Gaulois s'étaient établies dans le territoire pontin (ager Pomptinum) et les consuls, inquiets de la puissance et du nombre des ennemis, formaient la ligne de bataille. Sur ce, le chef des Gaulois, à la taille élevée et gigantesque, les armes étincelantes d'or, marchant à grands pas, balançant son javelot dans sa main, s'avança et, jetant un regard dédaigneux tout autour de lui, plein de mépris et d'orgueil, il demande que vienne marcher vers lui celui qui, dans toute l'armée romaine, oserait se battre contre lui. Alors, tandis que les autres hésitent entre la crainte et la honte, le tribun Valérius, après avoir obtenu au préalable l'autorisation des consuls de se battre avec un Gaulois si monstrueusement arrogant, s'avance courageusement et discrètement à sa rencontre ; ils marchent l'un vers l'autre, s'arrêtent et ils en venaient déjà aux mains lorsqu'une force divine intervint : soudain un corbeau s'approche en volant, de façon absolument inopinée, se pose sur le casque du tribun et de là se met à attaquer la bouche et les yeux de l'adversaire ; il sautait sur lui, l'assommait, lui lacérait la main de ses griffes, de ses ailes l'empêchait de voir et, lorsqu'il s'était suffisamment démené, il revenait en volant sur le casque du tribun. C'est ainsi que le tribun, sous les yeux des deux armées, fort de son propre courage et défendu par l'aide de l'oiseau, vainquit le chef si hardi des ennemis et le tua ; cela lui valu le surnom de Corvinus. Cet événement s'est produit quatre cent cinq ans après la fondation de Rome."

Dion Cassius, Histoire romaine, VII, fragment 73 : "Valérius était près de combattre contre un chef des Gaulois, lorsqu'un corbeau vient se poser sur son bras droit, le bec tourné contre le barbare. Il lui déchira le visage avec ses serres, et, lui couvrant les yeux avec ses ailes, il le livra sans défense à Valérius qui fut surnommé Corvinus. Corvus a la même signification que Korax."

Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XV, 1 : "Dans une expédition des Celtes contre Rome, un de leurs rois provoqua à un combat singulier celui des Romains, quel qu'il fût, qui serait un homme [de coeur] : alors M. Valérius, un des chiliarques, qui descendait de ce Valérius Poplicola par qui la ville avait été délivrée des rois, s'avança pour combattre avec le Celte. Quand ils en furent venus aux mains, un corbeau, posé sur le casque de Valérius, poussait des cris terribles en regardant le barbare, et, toutes les fois que ce dernier voulait porter un coup, s'élançait sur lui, et tantôt avec ses ongles lui déchirait les joues, tantôt avec son bec lui piquait les yeux, et le Celte était hors de lui-même, ne pouvant combattre ni de façon à se défendre de l'homme, ni de manière à se mettre en garde contre le corbeau. Le combat durait déjà depuis longtemps, le Celte tournait son sabre contre Valérius, comme le lui ayant déjà, en parant les coups, plongé dans les flancs ; le corbeau ensuite volant au-dessus de lui et lui crevant les yeux, il élevait son bouclier comme pour écarter l'oiseau. Le Romain, tandis qu'il tenait en l'air son arme, suivant ses mouvements, lui porte en dessous un coup d'épée et le tue. Camille, qui commandait l'armée, décora Valérius d'une couronne d'or, et lui donna le surnom de Corvinus, du nom de l'animal qui l'avait secondé en ce combat singulier ; - car les Romains appellent les corbeaux corvi ; - Valérius lui-même ne cessa dès lors de porter comme emblème et comme ornement un corbeau sur son casque, et dans toutes ses images, sculptures ou peintures, il est représenté avec cet animal sur la tête."

Eutrope, Abrégé de l'Histoire romaine, II, 3 : "On fit encore une fois le cens ; et comme les Latins, soumis par le peuple de Rome, refusaient de fournir des soldats, le tirage eut lieu seulement parmi les Romains ; on forma dix légions, ce qui portait à plus de soixante mille hommes le nombre des soldats : tant l'empire de Rome, malgré ses faibles ressources, déployait déjà d'héroïsme pour la guerre ! Ces troupes partirent contre les Gaulois, sous la conduite de L. Furius ; et l'un des barbares ayant défié au combat le plus brave des Romains, M. Valerius, tribun militaire, se présenta ; comme il s'avançait tout armé, un corbeau se posa sur son bras droit ; puis, pendant le combat livré contre le Gaulois, le même corbeau frappa de ses ailes et de ses serres les yeux du barbare, pour l'empêcher de fixer devant lui ses regards. Ainsi le Gaulois, tué par le tribun Valerius, lui laissa et la victoire, et le surnom de Corvinus qu'on lui donna dans la suite ; de plus, cette action d'éclat le fit nommer consul à vingt-trois ans."

Florus, Abrégé de l'Histoire romaine, I, 13 : "Et d'abord, c'était peu d'avoir chassé de la ville cette race de Gaulois ; les voyant encore traîner par toute l'Italie les vastes débris de leur naufrage, les Romains les poursuivirent si vivement, sous la conduite de Camille, qu'il ne reste plus aujourd'hui aucun vestige des Sénonais. On les massacra une première fois près de l'Anio, où Manlius, dans un combat singulier contre un de ces Barbares, lui arracha , entre autres dépouilles, un collier d'or : de là le nom de Torquatus. Ils furent encore défaits aux champs Pomptins (ager Pomptinum) ; là, dans un semblable combat, Lucius Valérius, secondé par un oiseau sacré qui s'attacha au casque du Gaulois, conquit les dépouilles de son ennemi et le surnom de Corvinus. Enfin, quelques années après, les derniers restes de ce peuple furent anéantis en Etrurie, par Dolabella, près le lac de Vadimon, afin qu'il n'existât plus dans cette nation un seul homme qui pût se glorifier d'avoir incendié la ville de Rome."

Julius Obsequens, Livre des prodiges, XXI : "Sous les consuls L. Furius Camillus et Appius Claudius Crassus. Dans la guerre que les Romains firent contre les Gaulois, sous le commandement de Camille, un corbeau s'abattit sur le casque de Valerius, tribun des soldats, pendant qu'il combattait contre un Gaulois qui l'avait provoqué. L'oiseau ne se borna pas à demeurer au poste qu'il s'était assigné ; mais, toutes les fois que le combat recommença, se soutenant dans l'air ait moyen de ses ailes, il assaillit de son bec et de ses ongles le visage et les yeux de l'ennemi, jusqu'à ce que Valerius fût parvenu à trancher la tête du Gaulois, qu'un pareil prodige avait rempli d'effroi, et dont la vue et l'esprit étaient troublés."

Orose Histoires contre les païens, III, 6 : "M. Valerius acheva cette bataille avec l'aide d'un corbeau, d'où vient que par la suite il fut surnommé Corvinus ; en effet, après la mort du Gaulois qui avait porté le défi, les ennemis terrifiés et fuyant çà et là furent sévèrement taillés en pièces."

Pseudo-Aurelius Victor, Des hommes illustres de la ville de Rome, XXIX : "Tandis que Camille poursuivait les restes des Sénonais, un géant gaulois défia les Romains ; le seul tribun légionnaire Valerius s'avança contre le provocateur, au milieu de la terreur universelle. Un corbeau se perche, au lever du soleil, sur le casque de Valerius, et ne cesse, pendant le combat, de frapper le visage et les yeux du Gaulois. Valerius, vainqueur, fut surnommé Corvinus."

Tite-Live Histoire romaine, VII, 25 : "Parmi les autres événements de cette année, il faut compter la perte de l'un des consuls, Appius Claudius, qui mourut au milieu des préparatifs de la guerre. Le pouvoir fut remis à Camille, demeuré seul au consulat grâce à son mérite, qu'on n'osa point soumettre à l'autorité dictatoriale, ou à son nom peut-être, qui parut d'heureux augure dans un tumulte gaulois ; le sénat ne crut point convenable de lui substituer un dictateur. Ce consul laissa deux légions pour garder la ville, partagea les huit autres avec le préteur L. Pinarius ; et, fier du souvenir de son vaillant père, il prend pour lui, sans l'épreuve du sort, la guerre des Gaulois, et charge le préteur de défendre la côte maritime et de repousser les Grecs des rivages. Il descend sur le territoire pontin (ager Pomptinum) ; mais il ne voulait point combattre en rase campagne sans y être contraint ; il pensait d'ailleurs que, s'opposer aux dévastations d'un ennemi forcé par la nécessité de vivre de rapines, ce serait assez pour le réduire : il choisit un lieu favorable, et s'y retrancha."

Tite-Live, Histoire romaine, VII, 26 : "Là, pendant qu'on passait le temps à observer sans agir, un Gaulois s'avança, remarquable par sa grandeur et par son armure. De sa lance il heurte son bouclier, impose silence, et provoque, par interprète, un des Romains à combattre avec lui. Il y avait là un tribun des soldats, un jeune homme, M. Valerius, qui s'estima non moins digne de cet honneur que T. Manlius. Il demande et prend les ordres du consul, et s'avance hors des rangs avec ses armes. L'intervention des dieux dans cette lutte fit perdre à l'homme une part de sa gloire. Déjà en effet le Romain était aux prises, quand soudain un corbeau se percha sur son casque, faisant face à l'ennemi, ce qui parut d'abord un augure envoyé du ciel ; le tribun l'accepte avec joie, puis il prie, le dieu ou la déesse qui lui envoie cet heureux message, de lui être favorable et propice. Chose merveilleuse : non seulement l'oiseau demeure au lieu qu'il a choisi, mais, chaque fois que la lutte recommence, se soulevant de ses ailes, il attaque du bec et des ongles le visage et les yeux de l'ennemi, qui, tremblant enfin à la vue d'un tel prodige, les yeux et l'esprit troublés tout ensemble, tombe égorgé par Valerius : le corbeau disparaît alors, emporté vers l'orient. Jusque-là les deux armées étaient restées immobiles, mais quand le tribun se mit à dépouiller le cadavre de son ennemi mort, les Gaulois ne se tinrent plus à leur poste, et l'élan des Romains vers le vainqueur fut plus rapide encore. Et là, autour du corps du Gaulois terrassé, une lutte s'engage, un combat sanglant a lieu. Des manipules des postes avancés, l'action gagne les légions entières qui se confondent. À ses soldats joyeux de la victoire du tribun, joyeux de l'assistance et de l'appui des dieux, Camille ordonne de marcher au combat ; et montrant le tribun paré de ses nobles dépouilles : Imite-le, soldat, disait-il ; et près du cadavre de leur chef couche à terre ces hordes gauloises. Les dieux et les hommes prirent part à cette affaire ; on livra bataille aux Gaulois : et le résultat n'en fut point douteux ; tant l'issue de la lutte des deux combattants l'avait marqué d'avance à l'esprit de l'une et l'autre armée ! Aux premiers postes seulement, dont la rencontre avait entraîné les autres, le combat fut acharné : tout le reste, avant d'en venir à la portée du trait, tourna le dos. Dispersés d'abord chez les Volsques et sur le territoire de Falerne, ils gagnèrent ensuite l'Apulie et la mer inférieure. Le consul convoqua l'armée, fit l'éloge du tribun, et lui donna dix boeufs et une couronne d'or ; puis, sur un ordre du sénat, il prit en main la guerre maritime et réunit son camp à celui du préteur : mais, voyant que la lâcheté des Grecs, qui refusaient le combat, prolongeait la guerre, le sénat lui ordonna de nommer dictateur, pour la tenue des comices, T. Manlius Torquatus. Le dictateur nomma maître de la cavalerie A. Cornelius Cossus, et tint les comices consulaires ; son rival de gloire, quoique absent, M. Valerius Corvus (car ce fut désormais son surnom) fut par lui, aux applaudissements du peuple, et à vingt-trois ans, proclamé consul. On donna pour collègue plébéien, à Corvus, M. Popilius Laenas, appelé ainsi pour la quatrième fois au consulat."


Sources:
  • J.-L. Brunaux, (2005) - Les Gaulois, Belles Lettres, Paris, 314p.
  • Pierre Crombet pour l'Arbre Celtique
  • Julien Quiret pour l'Arbre Celtique

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