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Encyclopédie Celtique

Les Celtes étaient-ils anthropophages?

Un cannibalisme guerrier ? religieux ?

Les sacrifices humains pratiqués chez les Celtes, selon les auteurs anciens, ont toujours frappé l'imagination. Ces mêmes auteurs ont quelque fois désigné les Celtes comme étant des cannibales, renforçant certainement ainsi le portrait ténébreux et barbare de cette civilisation. Doit-on néanmoins ignorer les dires de ces auteurs ? Depuis les XIXe s., les découvertes d'os humains au milieu de dépotoirs ou plus simplement hors contexte de sépulture ont démontré selon certains la véracité des dires des auteurs anciens, voyant en celà les restes de sacrifices humains. Les fouilles archéologiques plus récentes, effectuées au sein des sanctuaires de Gaule Belgique ont révélé l'existence de véritables charniers. Certains éléments publiés dans la presse alors, plaidaient pour l'existence d'une forme d'anthropophagie. Ceci nous amène donc à prendre en compte les sources anciennes, tout en conservant un regard critique.

Ce qu'en disent les sources antiques

Les textes de Pline l'ancien et Pausanias indiquent l'existence d'une certaine forme de cannibalisme chez les Celtes. Pline souligne le fait que certaines pratiques religieuses impliquaient la consommation de la chair des sacrifiés. Pausanias, évoquant la conquête de la Grèce par les Celtes évoque la consommation du sang et de la chair des hommes qui paraissaient mieux " nourris que d'autres ". L'archéologie ne démontre en rien l'existence de ces pratiques, bien que la présence de restes humains ne soit pas rare dans les sanctuaires du Nord de la Gaule, les trophées guerriers notamment. La présence d'os humains dans les sanctuaires est peut-être héritée d'un culte rendu aux ancêtres ou aux héros.

Pline, Histoire Naturelle, XXX, 4: "La Gaule était possédée jusqu'à nos jours par la magie. C'est l'Empereur Tibère qui supprima les druides et cette engeance de prophètes et de médecins. La Bretagne pratique encore cet art. Il faut remercier les Romains qui ont aboli ces monstruosités dans lesquelles tuer un homme était l'acte le plus religieux et le manger la pratique la plus salutaire".

Pausanias, Description de la Grèce, XX, 22, 3 : "Ceux-ci rétrogradèrent jusqu'aux ponts du Spercheios, le passèrent et, ayant fait route à travers la Thessalie, se jetèrent dans l'Étolie. Ce furent ce Combutis et cet Orestorios qui firent aux Calliens un mal dont l'impiété dépasse tout ce que nous avons jamais ouï dire et n'a pas eu sa pareille dans les plus grands attentats : ils massacrèrent tout ce qui était du sexe masculin ; vieillards et tout petits enfants aux mamelles de leur mère furent pareillement égorgés ; et ceux d'entre eux que le lait avait le plus engraissés, les Galates qui les tuaient en buvaient le sang et goûtaient de ces chairs."

Pausanias, Description de la Grèce, XX, 22, 7 : "Et, bien que les Calliens aient souffert des atrocités telles que les fictions d'Homère sur les Léstrigons et le Cyclope ne paraissent plus en dehors de la vérité, ils furent du moins dignement vengés. Et, en effet, de quatre myriades et huit cents hommes qu'étaient contre eux ces barbares, il s'en sauva moins de la moitié dans leur camp des Thermopyles."

Le trouble s'installe encore à la lecture des lettres de Saint-Jérôme. Celui-ci indique l'existence de l'anthropophagie chez les Écossais présents en Gaule. Ce texte pourrait en effet être un parallèle aux dires de Strabon qui évoque cette pratique de l'anthropophagie, ailleurs dans les île britanniques, chez les Celtes d'Irlande. Cette pratique y est selon lui assez courante. Peut-être faut-il y voir une des nombreuses spécificités de l'Irlande et de l'Ecosse?

Saint-Jérôme, Aduersus Iouinianum (traduction Claude Sterckx): "J'ai vu personnellement, pendant ma jeunesse en Gaule, des Attacottes de Bretagne manger de la chair humaine. Ayant razzié divers troupeux dans les bois, ils avaient coupé les fesses des pastoureaux, les seins et les fesses des bergères et les avaient dévorés comme des friandises".

Strabon, Géographie, IV, 5, 4 : "Il y a dans le voisinage de la Bretagne d'autres îles encore, mais de peu d'étendue ; une seule entre toutes est considérable, c'est l'île d'Ierné, située juste au Nord de la Bretagne. Cette île se trouve avoir plus d'étendue en longueur qu'en largeur. Nous n'avons, du reste, rien de certain à en dire, si ce n'est que ses habitants sont encore plus sauvages que ceux de la Bretagne, car ils sont anthropophages en même temps qu'herbivores et croient bien faire en mangeant les corps de leurs pères et en ayant publiquement commerce avec toute espèce de femmes, voire avec leurs mères et leurs soeurs".

Caius Julius Solinus, Polihistor, XXIII : "L'une d'elles, l'Hibernie, a la même étendue ; les moeurs des habitants sont barbares ; elle a tant de pâturages qu'on n'en éloigne le bétail que dans la crainte des suites d'une nourriture trop abondante. On n'y trouve point de serpents ; il y a peu d'oiseaux ; le peuple y est inhospitalier et redoutable à la guerre. Les vainqueurs se couvrent le visage du sang de leurs ennemis, après en avoir bu d'abord. Ils ne font pas la distinction du bien et du mal".

Soupçons modernes

Les sources antiques ne sont pas seules à distiller l'idée de l'existence du cannibalisme chez les Gaulois. Certaines découvertes récentes, effectuée lors de fouilles archéologiques ont - sans apporter de réels d'éclaircissements - relancé le débat. Tout d'abord le célèbre trophée de Ribemont-sur-Ancre a révélé l'existence de centaines de corps mis en pièces, dont les os longs ont été brisés par percussion suggérant une consommation de la moelle osseuse. L'éventualité de cette consommation est peu probable comme le souligne J.-L. Brunaux. La rareté des sources antiques évoquant une telle pratique chez les Gaulois donne à penser que cette pratique n'était certainement pas courante, si toutefois elle a existé. Plus récemment, la découverte à Eclépens (colline du Mormont, Suisse) de deux corps d'adultes, en partie démembrés et brûlés, a fait les gros titres de la presse helvétique. Le quotidien 24 Heures a été le premier à relayer cette information dans son édition du 25 septembre 2008 en publiant un article intitulé "Nos ancêtres les Celtes étaient cannibales". Cette dernière découverte étant extrêmement récente, il n'est pas possible pour l'heure de tirer un quelconque enseignement de celle-ci.

J.-L. Brunaux, Les religions gauloises, p.155 : "A Ribemont un certain nombre d'os longs ont été intentionnellement brisés par percussion, comme le faisaient les utilisateurs de certaines grottes de l'Age du Bronze pour en extirper la moelle. Il est cependant peu probable que ce fut à Ribemont la finalité de ce geste : l'opération, au moins plusieurs semaines après la mort, n'aurait livré qu'une moelle sans grand intérêt culinaire ".

F. Ravussin, "Nos ancêtres les Celtes étaient cannibale", 24 Heures, édition du 25/09/2008 : "Deux squelettes partiels ont été déterrés sur les flancs de la colline du Mormont. Les corps n'ont plus ni bras ni jambe sur le côté droit. Les ossements laissent apparaître des traces de brûlures. "On peut supposer qu'ils ont été rôtis. Il est donc fort probable qu'ils aient été mangés", confie un archéologue. [...] Etaient-ils des esclaves, des prisonniers ou considérés comme des sous-hommes? De multiples questions se posent encore. Mais si le cannibalisme se vérifie, cette découverte serait tout bonnement exceptionnelle! Il est établi que les Celtes se livraient à des sacrifices humains. "Toutefois, aucune trace archéologique n'a encore permis de vérifier qu'ils allaient jusqu'à les manger, comme le rapportent certains auteurs romains", reprend l'archéologue."

L'encéphalophagie

Une pratique se rapproche nettement de l'anthropophagie et pourrait être rattachée à un rituel guerrier - l'encéphalophagie - que celle-ci soit vraie ou seulement symbolisée. L'encéphalophagie, c'est-à-dire la consommation de la cervelle prélevée sur l'ennemi, peut être sérieusement envisagée à la vue de certaines découvertes archéologiques et de témoignages antiques. L'encéphalophagie est largement attestée au Néolithique, dans toute l'Europe (Sterckx, 2005). Chez les Celtes, une telle pratique est décelable à travers l'usage du crâne comme coupe à boire, évoqué par de nombreux auteurs de l'antiquité. Autant nul n'évoque la consommation de la cervelle de l'ennemi, autant cet usage supposé transparaît lorsqu'il est question d'y boire du sang (selon Ammien Marcellin) ou autres liquide lorsque sont offertes des libations.

Ammien Marcellin, Histoires, XVII, 4 : "Le territoire des Scordisques notamment en faisait partie, et il se rattache de nos jours à une province qui en est fort éloignée. Nos annales nous apprennent quelle était la brutale férocité de cette race, qui sacrifiait ses prisonniers à Mars et à Bellone, et buvait avec délices du sang dans des crânes humains."

Orose, Histoires contre les païens , V, 23 : "Pendant ce temps, Claudius, chargé, en vertu du tirage au sort, de la guerre de Macédoine, tenta de repousser par les armes hors des limites de la Macédoine des peuples divers qui s'étaient répandus à partir des monts Rhodopes et dévastaient alors la Macédoine avec la plus grande cruauté - en effet, entre autres choses effroyables à dire et à entendre, qu'ils faisaient à leurs prisonniers: en s'emparant, quand ils avaient besoin d'une coupe, de crânes humains, sanglants, encore chevelus et enduits, dans les cavités intérieures, de matière cervicale mal grattée, ils en usaient, avec avidité et sans horreur, comme de véritables coupes: de ces peuples, les plus sanguinaires et les plus farouches étaient les Scordisques."

Silius Italicus, La guerre punique , XIII, 482 : "Quant aux Celtes, ils se plaisent à vider les crânes, à les border - horreur ! - d'un cercle d'or, et ils gardent ces coupes pour leurs banquets."

Tite-Live, Histoire romaine , XXIII : "Ce fut là que périt Postumius, en faisant les plus héroïques efforts pour ne pas être pris. Ses dépouilles et sa tête, séparée de son corps, furent portées en triomphe par les Boïens dans le temple le plus respecté chez cette nation ; puis la tête fut vidée, et le crâne, selon l'usage de ces peuples, orné d'un cercle d'or ciselé, leur servit de vase sacré pour offrir des libations dans les fêtes solennelles. Ce fut aussi la coupe du grand pontife et des prêtres du temple."

Florus, Epitome, I, 39 (traduction C. Sterckx) : "Il n'est pas de cruauté que ces Thraces ne commissent à cette époque dans les traitements qu'ils infligeaient aux prisonniers, versant aux dieux des libations de sang humain, buvant dans des crânes, souillant par des outrages de toute sorte une mort causée tantôt par le feu, tantôt par la fumée, arrachant même dans les tortures les foetus des femmes enceintes ; les plus cruels de tous étaient les Scordisques."

Une coupe de ce type a été découverte dans le temple de Libenice (Bohème), accompagnée d'un autre crâne, à l'intérieur d'un chaudron. A Montmartin (60), des crânes présentent des traces de découpes faîtes pour ne conserver que la face et parfois les traces de l'agrandissement du trou occipital, permettant alors d'en extraire la cervelle de l'ennemi. A Roissy-en-France (95), des morceaux de calvaria ont été découverts. Ils ont semble t-il été découpés à la scie. Enfin, des crânes découverts à Agen et Manching (Allemagne) présentaient des traces de découpes qui pourraient correspondre à un aménagement en coupe.

Aucun fait n'indique clairement l'existence de l'encéphalophagie chez les Celtes. Cette pratique est assez largement attestée en Europe au cours du Paléolithique, mais aussi et surtout au cours du Néolithique. Les quelques découvertes citées plus haut tout comme les témoignages antiques suggèrent donc le maintien de ces pratiques, tout au moins atténuées sous la forme de l'utilisation du crâne aménagé en coupe à boire.

Un cannibalisme de nécessité?

Des textes antiques évoquent le cannibalisme chez les Celtes, tout en soulignant l'absolue nécessité de cet acte à ce moment là de leur histoire ; la Guerre des Gaules de César, la Géographie de Strabon, et les Histoires de Polybe.

Strabon, Géographie, IV, 5, 4 : "A dire vrai, ce que nous avançons là (l'anthropophagie des Irlandais) repose sur des témoignages peu sûrs ; rappelons pourtant, en ce qui concerne l'anthropophagie, que la même coutume paraît se retrouver chez les Scythes, et que l'histoire nous montre, plus d'une fois, dans les nécessités d'un siège, les Celtes, les Ibères et maint autre peuple barbare réduits à une semblable extrémité ".

A la suite de sa description de l'anthropophagie chez les Irlandais, Strabon admet l'existence d'un doute quant à la réalité de cette pratique. Il souligne néanmoins l'existence de cette pratique chez les Celtes, tout comme chez les Ibères "et autres barbares" dans le cadre de sièges.

Le passage VII, 77 de la Guerre des Gaules vient confirmer les dires de Strabon, apportant plus de détails encore. En effet, César indique que le chef gaulois Critognatos proposa d'avoir recours au cannibalisme lors du siège d'Alésia. Le refus qui lui fut donné plaide pour l'existence d'un tabou concernant l'anthropophagie. Le discours de Critognatos, prononcé en 52 av. J.-C. à Alésia et retranscrit par César indique que lors des pillages effectués par les Cimbres et les Teutons, les Gaulois durent se résigner à cette pratique. En effet, la tactique gauloise face aux Celto-Germains était de s'enfermer dans leurs oppida afin, certainement, d'éviter une attaque frontale meurtrière et pour éviter de perdre des villes aux seins desquelles les barbares auraient pu s'installer durablement. Assiégés et ne pouvant se ravitailler, les Gaulois consommèrent la chair des personnes n'étant pas en état de combattre.

Jules César, La guerre des gaules, VII, 77 : "Si tout chemin vous est fermé par où vous pourriez avoir de leurs nouvelles, les Romains eux-mêmes ne vous assurent-ils pas de leur arrivée prochaine par ces travaux de jour et de nuit qui montrent assez la crainte qu'ils en ont ? Quel est donc mon avis ? De faire ce que firent nos ancêtres dans leurs guerres, bien moins funestes, contre les Cimbres et les Teutons. Forcés, comme nous, de se renfermer dans leurs villes, en proie à la disette, ils soutinrent leur vie en se nourrissant de la chair de ceux que leur âge rendait inutiles à la guerre ; et ils ne se rendirent point. Si nous n'avions pas reçu cet exemple, je dirais que, pour la cause de la liberté, il serait glorieux de le donner à nos descendants. Quelle guerre en effet peut-on comparer à celle-ci ? Les Cimbres, après avoir ravagé la Gaule, et lui avoir fait de grands maux, sortirent enfin de notre territoire, et gagnèrent d'autres contrées ; ils nous laissèrent nos droits, nos lois, nos champs, notre liberté !"

De même, lors de la révolte des mercenaires gaulois de Carthage, Polybe de Mégalopolis évoque un cas similaire.

Polybe, Histoires, I, 84: "Enfin ayant inopinément établi son camp dans un lieu aussi désavantageux pour eux [les Gaulois] qu'il présentait d'avantages pour son armée, Amilcas les réduisit à une situation telle que, n'osant courir le risque d'une bataille, et ne pouvant fuir, cernés de toutes parts comme ils l'étaient par le fossé et les retranchements, poussés par la famine, ils finirent par être forcés de se manger les uns les autres. La fortune leur infligeait cette légitime compensation pour leur impiété et leur méconnaissance de toute loi à l'égard d'autrui."

Polybe, Histoires, I, 85: "Quand ils [les Gaulois] eurent avec cette impiété épuisé les prisonniers qu'ils employaient à leur nourriture, épuisé aussi les corps de leurs esclaves, comme il ne leur venait de Tynète aucun secours alors il devint évident pour les chefs que la multitude sous le poids de ses maux allait se porter à des excès envers eux, et Autarite, Zarcas et Spendios décidèrent de se mettre entre les mains des ennemis et d'entrer en pourparler avec Amilcas au sujet d'un accommodement."

Enfin, dans le même ordre d'idée, Juvénal décrit un évènement qui donna lieu à la pratique du cannibalisme chez les Vascons (les Basques), peuple voisin des Celtes.

Juvénal, Satire, XV, 93-100:" Les Vascons, si l'on en croit la renommée, usèrent jadis de cette nourriture pour prolonger quelque temps leur existence. Mais les circonstances étaient tout autres. Ils cédaient à la fortune jalouse, aux suprêmes cruautés de la guerre ; leur situation était désespérée et ils supportaient les horreurs d'un long siège. Il n'y a dans cet exemple qu'un motif de pitié ; la cité avait épuisé toutes les herbes, tous les animaux, tous les aliments que pouvait découvrir la fureur des ventres vides ; ses citoyens par la pâleur, la maigreur, le corps décharné, frappaient de compassion les ennemis eux-mêmes. C'est dans cet état que la faim les jeta sur les corps de leurs semblables ; ils étaient prêts à se dévorer eux-mêmes. Quand des villes endurent de tels martyres, quel mortel, quel dieu ne les absoudrait ? Les mânes même des morts dévorés auraient pardonné."


Sources:
  • J.-L. Brunaux, Les religions gauloises, Errance, 2000.
  • C. Sterckx, Les mutilations chez les Celtes préchrétiens, l'Harmattan, 2005.
  • Julien Quiret pour l'Arbre Celtique
  • DT sur le forum de l'Arbre Celtique

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