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Vous êtes dans Encyclopédie de l'Arbre Celtique > peuples celtes / peuples de Gaule Narbonnaise (Province) / Déciates
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Encyclopédie Celtique

Déciates

Les peuples Celtes
Nom latin:Deciates
Nom grec:Δεκιηται / Δεκιατίαι
Localisation:Entre la Siagne et le Loup
Capitale:Deciatum (?), puis Antipolis (Antibes)

Déciates

Localisation

Peuple de la Gaule méridionale, qui fut successivement incorporé à la province de Gaule transalpine, puis à la Gaule narbonnaise. Leur territoire s'étendait entre le cours de deux petits fleuves côtiers, la Siagne et le Loup, au niveau de l'ancien diocèse de Grasse (avant 1790). D'après les Descriptions géographiques d'Artémidore d'Éphèse et la Description de la Terre de Pomponius Mela, une localité dénommée Δεκίητον / Deciatum avoisinait Antipolis (Antibes), il est fort probable qu'il s'agissait de la capitale indigène de ce peuple (Descriptions géographiques, I, cité par Étienne de Byzance, Ethniques, 224 ; Description de la Terre, II, 69). Cette ville n'est toujours pas localisée.

Attestations et étymologie

Les Déciates furent mentionnés sous la forme Δεκιῆται par Artémidore d'Éphèse (Descriptions géographiques , I, cité par Étienne de Byzance, Ethniques, 224), mais aussi par Polybe, sous cette même forme et autres déclinaisons (Histoire générale, XXXIII, 6-7), par Strabon, sous la forme Δεκιητῶν (génitif de Δεκιηται) (Géographie, IV, 6, 2), par Pline sous les formes regio Deciatium (Histoire naturelle, III, 35) et Deciates (Histoire naturelle, III, 47) et enfin par Ptolémée sous la forme Δεκιατίων (génitif de Δεκιατίαι) (Géographie, II, 10, 8). Cet ethnonyme est communément francisé sous la forme "Déciates", mais quelques ouvrages anciens privilégient les variantes "Décéates" et "Déciètes". La signification et l'origine de cet ethnonyme ne sont pas établies. Peut-être est-il possible d'y identifier le suffixe d'appartenance -ati, sans plus de précision.

Histoire

● Protohistoire

Les auteurs de l'antiquité qualifiaient ce peuple de ligure. Les Déciates entrèrent très tôt au contact des Grecs et c'est sur leur littoral que les Massaliotes établirent Ἀντίπολις "Antipolis" (Antibes) au IIIe s. av. J.-C. D'après Strabon, l'installation de ce poste répondait à la nécessité de protéger les possessions massaliotes des contre les menaces que leur faisaient peser les populations locales (Géographie, IV, 1, 5 ; 9) (1). Quelles possessions devaient-ils protéger dans cette régions ? La cité des Massaliotes était étroite, elle dut donc sans cesse prendre possession de nouvelles terres pour nourrir sa population grandissante. Peut-être est-il possible d'identifier l'une des sources des conflits qui opposèrent les Grecs aux Déciates dans un autre passage de l'oeuvre de Strabon. En effet, le géographe attribuait aux Massaliotes la possession des îles de Λήρων "Leron" et de Πλανασια "Planisia" (Géographie, IV, 1, 10), îles qu'ils cultivaient. Compte-tenu de la situation de ces deux îles, il semble certain que leurs précédents propriétaires n'étaient autres que les Déciates. L'installation de Massaliotes à Ἀντίπολις (Antibes) et la nécessaire occupation des terres alentours, telles que la Presqu'île d'Antibes n'a certainement fait qu'envenimer la situation.

● La guerre contre Massalia et Rome

Au milieu du IIe s. av. J.-C., la situation entre les Massaliotes et les populations de la région se dégrada de nouveau. C'est très certainement en raison des pressions que faisaient peser sur eux les Massaliotes que les Oxybiens lancèrent une vaste offensive contre les intérêts des Grecs, avec le soutien des Déciates. Ces deux peuples vinrent assiéger deux villes massaliotes, Nikaia et Antipolis (155-154 av. J.-C.). En réaction, les Massaliotes firent appel aux Romains pour sécuriser leurs possessions. A l'issue de la campagne de Quintus Opimius (154 av. J.-C.), les Déciates et Oxybiens furent vaincus. Suite à ce conflit, ces deux populations furent désarmées et contraintes de livrer tous les ans des otages à la cité de Massalia. En plus de cela, leurs possessions littorales furent cédées aux Massaliotes.

● La domination massaliote

À l'issue de la guerre contre Massalia et Rome, les Déciates et les Oxybiens perdirent toute autonomie. Pendant plus d'un siècle, il semblerait que la situation des Déciates demeura similaire, y compris au terme de la conquête du sud de la Gaule par les Romains (125-118 av. J.-C.). On notera d'ailleurs qu'au lendemain de ces guerres, la mainmise des Massaliotes sur le littoral gaulois fut renforcée.

● Les débuts de la domination romaine

En 49 av. J.-C., dans le cadre du conflit qui opposait les Pompéiens aux Césariens, Massalia tenta de demeurer neutre. Plus que suspecte aux yeux de César, cette apparente neutralité fut considérée comme un véritable casus belli et la guerre fut déclarée. Au terme d'un long siège, Massalia fut contrainte de capituler, après quoi ses possessions furent en partie démantelées. C'est dans ce cadre qu'un décret fut rendu pour affranchir Antipolis de la juridiction de Massalia (Strabon, Géographie, IV, 1, 9). D'après Strabon (Géographie, IV, 1, 9) et Pline (Histoire naturelle, III, 35), Antipolis aurait été élevée au rang de colonie de droit latin (Pline la mentionne parmi les oppida latina). L'intégration des Déciates à la province de Gaule narbonnaise ne semble pas antérieure à cette période.

● La progressive intégration des Déciates à la cité des Antipolitains

Entre le milieu du Ier s. av. J.-C. et la rédaction de l'Histoire naturelle de Pline, les Déciates et la cité des Antipolitains constituèrent encore deux unités administratives distinctes, bien que les premiers ont très certainement été rattachés aux seconds, en tant qu'adtributi.

Les deux entités territoriales fusionnèrent peu à peu. La situation décrite au milieu du IIe s. ap. J.-C. par Ptolémée était très différente, puisque Antipolis était alors devenue la métropole de la cité des Déciates, témoignant de la fusion de ces derniers avec la cité des Antipolitains (Géographie, II, 10, 8). Cette fusion s'opéra certainement plus tôt, au moins au milieu du Ier s. ap. J.-C., comme pourrait en témoigner une épitaphe provenant de Mayence (CIL 13, 6974). D'après P. Arnaud (2002), ce citoyen romain ayant officié dans la légion XXII Primigena, était très certainement issu de la cité des Déciates (2). Ce statut de citoyen est cependant difficilement compatible avec le régime de l'adtributio, laissant donc croire que la fusion avec Antipolis était déjà opérée. Enfin, progressivement, ce fut finalement le nom des Antipolitains qui s'imposa.


Notes

(1) On en trouve également un échos dans un passage de l'Abrégé des Histoires philippiques de Trogue Pompée de Justin (XLIII, 3, 10-12).

(2) Cette mention est abrégée aux seules lettres DECI sur cette inscription de Mayence. De prime abord, cette abréviation pourrait désigner plusieurs villes ou peuples entrés dans le giron romain, cependant la mention de l'appartenance de Marcus Terentius Tertius à la tribu Voltinia, amène à privilégier une appartenance au peuple des Déciates.


Sources littéraires anciennes

Étienne de Byzance, Ethniques, 224 : "Dekiêton : ville d'Italie. L'ethnique est Dekiêtai, selon Artémidore dans le 1er livre des Descriptions Géographiques."

Justin, Abrégé des Histoires philippiques de Trogue Pompée, XLIII, 3, 10-12 : "Donc, Massilia fut fondée près de l'embouchure du Rhône, dans un golfe isolé, comme dans un recoin de la mer. Cependant les Ligures, jaloux de la croissance de la ville, harcelaient de guerres continuelles les Grecs qui firent tant d'efforts en repoussant les dangers, qu'après avoir vaincu les ennemis, ils établirent beaucoup de colonies sur les terres dont ils s'étaient emparé."

Pline, Histoire naturelle, III, 34-35 : "le promontoire Zao, le port Citharista ; la région des Camatulliques, puis les Sueltères ; et au-dessus les Verrucins ; sur la côte elle-même, Athénopolis des Marseillais ; une colonie de la huitième légion, Forum Julii, ou Pacensis, ou Classica ; il y passe un fleuve appelé Argenté ; la région des Oxubiens et des Ligaunes, au-dessus desquels sont les Suètres, les Quariates, les Adunicates ; sur la côte, la ville latine d'Antipolis ; la région des Déciates ; le Var, qui descend du mont Céma, de la chaîne des Alpes."

Pline, Histoire naturelle, III, 47 : "A partir du Var on trouve Nice, ville fondée par les Marseillais : le fleuve Palo ; les Alpes et les peuples alpins portant un grand nombre de noms, particulièrement les Chevelus ; le peuple des Védiantiens, et Cemenelum leur ville ; le port d'Hercule Monoecus, la côte ligustine. Ligures les plus célèbres : au delà des Alpes, les Salluviens, les Déciates, les Oxubiens ; en deçà des Alpes, les Vénènes, les Vagiennes descendants des Caturiges ; les Statyelles, les Vibelles, les Magelles, les Euburiates, les Casmonates, les Véliates, et ceux dont nous nommerons toutes les villes en parlant du rivage suivant."

Polybe, Histoire générale, XXXIII, 6 : "Lorsque l'ambassade marseillaise était venue à Rome annoncer au sénat que Marseille était pressée par les Liguriens, on avait aussitôt fait partir comme députés Flaminius, Popilius Lénas et Lucius Papius. Ils s'étaient embarqués avec les Marseillais mêmes et s'étaient dirigés vers Aigitna, dans le pays des Oxybiens. Les Liguriens, qui savaient que les Romains étaient chargés de faire lever le siège des deux villes que nous avons dites, accoururent aussitôt afin de s'opposer au débarquement de ceux qui étaient encore dans les eaux du port, et sommèrent Flaminius, qui déjà était à terre avec ses bagages, de se retirer. Sur son refus ils se mirent à piller ses effets, attaquèrent sans pitié les esclaves et les valets qui voulurent leur résister et s'opposer au pillage et les maltraitèrent fort. Ils blessèrent même Flaminius tandis qu'il défendait ses gens, lui tuèrent deux esclaves et refoulèrent le reste des Romains sur leurs vaisseaux. Flaminius eut à peine le temps de couper les câbles et de lever l'ancre pour échapper au péril. Transporté à Marseille, il fut soigné avec la plus grande attention. Le sénat, informé de ce qui s'était passé, fit aussitôt partir un de ses consuls, Opimius Quintus avec une armée, pour faire la guerre aux Décéates et aux Oxybiens."

Polybe, Histoire générale, XXXIII, 7 : "Quintus rassembla au plus vite des troupes à Plaisance, traversa les Apennins et fut bientôt arrivé chez les Oxybiens. Placé sur les bords du fleuve Aprôna, il attendit d'abord paisiblement les ennemis qu'il savait réunis et disposés à combattre. Puis il mena ses forces sous les murs d'Aigitna, où les députés romains avaient été insultés, prit la ville d'assaut, en fit les habitants esclaves et envoya dans les fers, à Rome, les auteurs du sacrilège. Cette exécution faite, il marcha au-devant de l'ennemi. Les Oxybiens, qui comprenaient que leur crime à l'égard des députés étaient sans pardon, n'écoutèrent plus qu'une ardeur insensée, et avec la fougue de gens désespérés, avant même leur jonction avec les Décéates qui étaient sous les armes au nombre d'environ quatre mille, ils coururent aux Romains. Quintus, brusquement attaqué, s'émut un instant d'une telle audace. Mais la pensée que l'ennemi n'obéissait qu'à une aveugle furie lui donna bon courage, comme à un homme qui à la pratique joignait une grande finesse naturelle. Il fit donc sortir son armée du camp et après lui avoir donné les conseils nécessaires, s'avança d'abord au petit pas, puis tout à coup, s'élançant avec rapidité, il rompit sans peine les premiers rangs des Oxybiens, en tua un grand nombre et força les autres à fuir en désordre. Les Décéates arrivèrent sur ces entrefaites pour prêter main-forte aux Oxybiens, mais trop tard : ils arrêtèrent du moins les fuyards et avec une ardeur et une énergie remarquables, se heurtèrent contre les Romains. Vaincus, ils se livrèrent, eux et leur pays,..."

Strabon, Géographie, IV, 1, 5 : "Plus tard cependant, à force d'énergie et de bravoure, les Massaliotes réussirent à s'emparer d'une partie des campagnes qui entourent leur ville. Ajoutons qu'ils avaient employé leurs forces militaires à fonder un certain nombre de places destinées à leur servir de boulevards contre les Barbares : les unes, situées sur la frontière d'Ibérie, devaient les couvrir contre les incursions des Ibères, de ce même peuple à qui ils ont communiqué avec le temps les rites de leur culte national (le culte de Diane d'Éphèse), et que nous voyons aujourd'hui sacrifier à la façon même des Grecs ; les autres, telles que Rhodanusia et Agathé, devaient les défendre contre les Barbares des bords du Rhône ; d'autres enfin, à savoir Tauroentium, Olbia, Antipolis et Nicaea, devaient arrêter les Salyens et les Ligyens des Alpes."

Strabon, Géographie, IV, 1, 9 : "Quant à la côte qui se prolonge dans la direction du Var et de la partie de la Ligystique attenante à ce fleuve, elle nous présente, avec les villes massaliotes de Tauroentium, d'Olbia, d'Antipolis et de Nicaea, la station navale, fondée naguère par César-Auguste sous le nom de Forum Julium : cette station se trouve située entre Olbia et Antipolis, à 600 stades de Massalia. Le Var coule entre les villes d'Antipolis et de Nicaea, mais passe à 20 stades de l'une et à 60 de l'autre, de sorte qu'en vertu de la délimitation actuelle Nicaea se trouve appartenir à l'Italie, bien qu'elle dépende effectivement de Massalia. Nous l'avons déjà dit, ce sont les Massaliotes, qui, se voyant entourés de Barbares, ont bâti ces différentes places : ils voulaient les contenir et s'assurer au moins le libre accès de la mer, puisque du côté de la terre tout était aux mains de leurs ennemis. Tout le pays, en effet, est montagneux et escarpé : il y a bien encore auprès de Massalia une plaine passablement large, mais à l'est de cette ville les montagnes se rapprochent tout à fait de la mer et serrent la côte de si près qu'elles y laissent à peine la place d'un chemin praticable. Le commencement de cette chaîne de montagnes est occupé par les Salyens ; l'autre extrémité l'est par des tribus ligyennes limitrophes de l'Italie, dont il sera parlé plus loin. Nous ferons remarquer seulement dès à présent que, bien qu'Antipolis soit située en dedans des limites de la Narbonnaise, et Nicaea en dedans des limites de l'Italie, celle-ci demeure dans la dépendance de Massalia et fait partie de la Province, tandis qu'Antipolis se trouve rangée au nombre des villes italiques, par suite d'un décret rendu contre les Massaliotes, qui l'a affranchie de leur juridiction."

Strabon, Géographie, IV, 6, 2 : "Et l'on en conclut que, comme les Ligyens se divisaient en Ingaunes et en Intéméliens, on a bien pu, pour distinguer les deux colonies ou établissements fondés par ce peuple sur le bord de la mer, appeler l'un Albium Intemelium, autrement dit l'Intemelium des Alpes, et l'autre (Albium Ingaunum) ou mieux Albingaunum par manière de contraction. Notons cependant qu'à ces deux tribus ou divisions de la nation Ligyenne Polybe en ajoute deux autres, la tribu des Oxybiens et celle des Déciètes."


Sources épigraphiques

Inscription de Mayence (CIL 13, 6974)
M(ARCVS) TERENTIVS M(ARCI) F(ILIVS) V(O)LT(INIA?) TERTIVS DECI(ATVS ?) [MIL(ES?)] LEG(IONIS) XXII PR(IMIGENIAE) ANN(ORVM) XXXIII STI(PENDIORVM) XIII H(IC) S(ITVS) E(ST)

"Marcus Terentius Tertius, fils de Marcus, (de la tribu) Voltinia, Déciate, militaire dans la légion XXII Primigena, âgé de 33 ans, 13 années de service, repose ici."


Sources:
  • P. Arnaud, (2002) - "Des peuples aux cités des Alpes méridionales : sources, problèmes,
    méthodes", in : D. Garcia & F. Verdin (dir.), Territoires celtiques. Espaces ethniques et territoires des agglomérations protohistoriques d'Europe occidentale, Actes du XXIVe colloque international de l'AFEAF, 1‐4 juin 2000, Martigues, pp.185‐198
  • Julien Quiret pour l'Arbre Celtique

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