Jules César:
La guerre des Gaules
, V, 14
, Trad: Germaine Roussel
, 1963
, Paris
, 10/18
Leurs épouses [aux Bretons] sont communes à des groupes de dix et douze hommes, particulièrement entre frères et entre pères et fils ; mais les enfants, qui naissent de ces unions, sont réputés appartenir à celui qui a amené, le premier, la femme encore vierge, à la maison.