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Encyclopédie Celtique

Sulbanectes / Silvanectes

Les peuples Celtes
Nom latin:Sulbanecti / Siluanecti
Nom grec:Σουβάνεκτοι / Οὐβάνεκτοι / Σουμανεκτοι
Etymologie:(1) pasteurs / éleveurs ; (2) protecteurs de leurs biens / propriétés ; (3) qui ont obtenu la propriété de leurs terres ; (4) ceux qui sont liés solidement
Localisation:Sellentois
Capitale:L'oppidum de Montépilloy (Oise), puis Augustomagus (Senlis, Oise)

Sulbanectes / Silvanectes

Localisation

Pagus des Suessions, puis cité gallo-romaine de la province de Gaule belgique. Le territoire de cette petite cité correspondait assez largement à celui de l'ancien diocèse de Senlis (avant 1790), soit le Sellentois. L'oppidum de Montépilloy (Oise) était très certainement la capitale protohistorique de cette peuplade, laquelle fut transférée à Augustomagus (Senlis, Oise) à l'époque romaine. Notons toutefois que Ptolémée leur attribue pour seule ville Ῥατóμαγος / Ratomagos (Géographie, II, 9, 6), sans qu'il ne soit possible de déterminer s'il s'agît du nom originel de l'une des deux capitales attestées, d'un autre site, non-localisé, d'une erreur de copiste, ou d'une confusion avec Ratumagus (Rouen), capitale de la cité des Véliocasses (Popineau, 2020).

Attestations et étymologie

Cet ethnonyme a été mentionné à plusieurs reprises das l'antiquité, sous la forme Ulmanectes liberi (var. Ulmancetes et Ulmanetes) par Pline (Histoire naturelle, IV, 31), Σουβάνεκτοι (var. Οὐβάνεκτοι et Σουμανεκτοι) par Ptolémée (Géographie, II, 9, 6). À partir de la seconde moitié du IIIe s. ap. J.-C., Augustomagus ne fut plus mentionnée que par le nom de la cité elle-même. Ainsi, elle apparaît sous la forme ciuitas Siluanectum (var. ciuitas Seluanectum) dans la Notice des Gaules, Siluanectas (var. Syluanectas) sur le Registre des Dignitaires (Occ. 42, 42), ou encore Siluanectis en l'an 511, lors du Concile d'Orléans. Ainsi, le nom actuel de Senlis provient de cet ethnonyme. Considérant les occurrences connues de leur temps, à savoir les seules attestations provenant des sources littéraires antiques, les historiens du XVIe au début du XXe s. ont privilégié un prototype en Siluanectes, inspiré des sources les plus tardives. La grande variété des transcriptions du préfixe de cet ethnonyme ont été vues comme le relet de la difficulté de transcrive la sifflante sourde initiale par les Grecs et les Latins. Ensuite, les sources les plus tardives témoignent d'une altération, que M. Roblin (1963) attribue à une étymologie populaire ayant tenté de rapprocher l'ethnonyme, du latin silua et de son adjectif, siluanus (d'où quelques tentatives de francisation en "Sylvanectes"). Les sources épigraphiques découvertes depuis la seconde moitié du XXe s. ont permit d'identifier trois nouvelles occurrences de ce nom sous les formes CIVITAS SVLBANECTIVM (AE 1960, 149 ; 1963, 123), [C]IVES SVLBANECTE[S] (AE 2016, 1069) et CIVE(S) SVLBA/[NECTES (AE 2016, 1070). Ces dernières attestations invitent à privilégier un propotype en Sulbanectes, mais, malgré l'évidence, la graphie "Silvanectes" demeure largement répandue dans les publications récentes. Avant ces nouvelles découvertes, H. d'Arbois de Jubainville (1903-1906) considérait que cet ethnonyme avait pour prototype *seluanecti, qui proviendrait du terme *selua / seluanos, qui signifierait "possession / propriété", et par extension "troupeau". En outre, H. d'Arbois de Jubainville estimait que ce terme était accompagné d'un suffixe en *-ecta, servant à former des abstractions. Selon lui, le composé *seluan-ecta serait un nom commun gaulois signifiant "pasteurs / éleveurs". L. H. Gray (1932-1933, apud. Roblin, 1963) privilégiait quant à lui un composé en *selu-anectes, qu'il traduit par "protecteurs de leurs biens / propriétés". La prise en compte de l'inscription mentionnant la CIVITAS SVLBANECTIVM exhumée morceau par morceau entre 1948 et 1952, qui a fait l'objet d'une première publication par A. Piganiol (1959), n'a pas notablement modifié l'opinion des linguistes. M. Roblin (1963) recoonait également un préfixe *selua-, "possession / propriété" (au sens juridique), dont la graphie révèlerait là encore la difficulté à retranscrire la phonétique gauloise, associé à *-nectis, le participe de la racine verbale indo-européenne ayant donné le latin naciscor et nactus, avec le sens actif "qui a obtenu / conquis". Cet ethnonyme aurait, selon le même auteur, été forgé lorsque ce peuple acquis son autonomie vis-à-vis des Suessions, et signifierait "qui ont obtenu la propriété de leurs terres". Aussi, P.-Y. Lambert (2003) et X. Delamarre (2003 ; 2023) souscrivent largement aux hypothèses de H. d'Arbois de Jubainville (1903-1906) et de L. H. Gray (1932-1933), en reconnaissant un composé en *selu(o)-aneg-to-, traduit par "qui protègent leurs biens". Un point de vue alternatif, proposé par P.-H. Billy (2001), et repris par J. Lacroix (2003), invite à y identifier un composé en *sol(e)uo-necto-, avec un ancien indo-européen *sol(e)uo-, "entier / solide", associé à *-necto-, "lien". Suivant cette hypothèse, cet ethnonyme devrait se traduire par "ceux qui sont liés solidement".

Histoire

● Protohistoire

De l'avis de P. Brun (2002), S. Fichtl (2004 ; 2013), ou encore J.-M. Popineau (2020), tout laisse penser que les Sulbanectes et leurs voisins méridionaux, les Meldes, mais aussi les Rèmes, plus à l'est, étaient initialement dominés par les Suessions, peuple qui exerçait par ailleurs une hégémonie sur la Gaule belgique. P. Brun (2002) établit cependant une hiérarchie, puisqu'à ses yeux les Rèmes et les Suessions formaient un fédération, tandis que les Sulbanectes et les Meldes n'étaient que des pagi des seconds. Les études les plus récentes portant sur les monnaies gauloises découvertes sur le territoire de l'ancien diocèse de Senlis abondent en ce sens, puisque le monnayage suession y est surreprésenté, tandis que l'existence même d'un monnayage spécifique aux Sulbanectes est dorénavant remise en cause (Popineau, 2020).

● Une autonomie tardive

Lorsque les Suessions, menés par leur roi, Galba, réunirent autour d'eux une coalition des peuples belges contre les Romains (printemps 57 av. J.-C.), les Rèmes prirent leur indépendance et se placèrent immédiatement sous la protection des Romains. À la suite de la défaite des Suessions face aux Romains (57 av. J.-C.), l'hégémonie qu'ils exerçaient sur la Gaule belgique s'effondra. Les peuples qui étaient sous leur influence constituèrent de nouvelles alliances, tandis que le territoire des Suessions fut démentelé. Ainsi, entre 57 et 54 av. J.-C., les Meldes gagnèrent à leur tour leur autonomie. Qu'en fut-il des Sulbanectes ? La plus ancienne attestation de leur indépendance remonte au milieu du Ier s. ap. J.-C. Au regard de la modestie de la cité, il n'est pas impossible qu'elle acquis son indépendance à la même époque, mais qu'elle ne fut pas mentionnée par César, mais il est plus probable que cette déduction ait eu lieu plus tardivement (Fichtl, 2004 ; 2013). Considérant les données archéologiques et celles relatives à la circulation monétaire, le fait que les Sulbanectes reçurent le statut de "cité libre" après la conquête (comme les Meldes et les Suessions), de leur absence dans les sources écrites, et de leur intégration à la province de Gaule belgique (contrairement aux Meldes), J.-M. Popineau (2020) envisage un processus d'individualisation n'ayant commencé qu'après 30 av. J.-C.

Longtemps, il a été considéré que l'Augustomagus gallo-romaine avait succédé à un oppidum gaulois, ayant reçu un nouveau nom - composite - à l'époque d'Auguste (27 av.-4 ap. J.-C.). Cette thèse, très populaire à partir du XIXe s. a été battue en brêche. Les fouilles archéologiques effectuées à Senlis révèlent qu'Augustomagus fut fondée ex nihilo et que les plus anciens vestiges découverts ne sont pas antérieurs au milieu du Ier s. ap. J.-C. (Piganiol, 1959 ; Durand, 1999 ; 2006 ; Popineau, 2020). L'oppidum de Montépilloy (Oise) a quant à lui révélé des niveaux d'occupation romains, témoignant d'une occupation continue jusqu'au début du Ier s. ap. J.-C. (Popineau, 2020). Le transfert de la capitale de cette peuplade et son édification selon un plan romain pourraient marquer le statut nouveau octroyé aux Sulbanectes. Cette même hypothèse a été formulée antérieurement par A. Piganiol (1959) qui estimait que l'inscription relevée sur un socle en bronze datant de 48 ap. J.-C., mentionnant la CIVITAS SVLBANECTIVM (AE 1960, 149 ; 1963, 123), n'était autre que l'acte de fondation de la cité.

● Le Haut-Empire

La cité des Sulbanectes était une bien modeste entité, qui avait hérité du statut assez avantageux de "cité libre" de son appartenance passée aux Suessions. Tenue à distance de l'Oise par les portions orientales du territoire des Bellovaques, elle devait sa relative prospérité aux grands axes routiers traversant leur territoire, qui en faisaient un important carrefour entre le nord et le sud du bassin parisien. Dans le reste du territoire, la romanisation fut plus lente et l'économie rurale y était très largement prédominante (Popineau, 2020). Un sanctuaire gallo-romain remarquable a été identifié sur le territoire de cette cité, le temple de la Forêt d'Halatte (Ognon, Oise), lequel fut fréquenté entre le milieu du Ier s. et le début du Ve s. ap. J.-C.

● Le Bas-Empire

Au cours de la dernière décennie du IIIe s. ap. J.-C., dans le cadre de la réforme provinciale de Dioclétien, la cité des Sulbanectes intégra la province de Belgique seconde. Ce fut au cours de cette même époque troublée par les invasions germaniques, à la transition entre le IIIe et le IVe s. ap. J.-C., qu'Augustomagus fut dotée d'une imposante enceinte urbaine (Durand, 1999).


Sources littéraires anciennes

Pline, Histoire naturelle, IV, 106 : "Au Scaldis, l'extérieur est habité par les Texuandres, divisés en plusieurs peuplades ; puis viennent les Ménapes, les Morins, la limite des Marsaques, attenants au bourg appelé Gesoriacum ; les Bretons, les Ambiens, les Bellovaques ; dans l'intérieur, les Catosluges, les Atrébates, les Nerviens, libres ; les Véromanduens, les Suécons, les Suessions, libres ; les Ulmanectes, libres ; les Tongres, les Sunuques, les Frisiavons, les Betases, les Leuques, libres ; les Trévires, libres auparavant, alliés maintenant ; les Lingons, alliés ; les Rèmes, alliés ; les Médiomatriques, les Séquanes, les Rauriques, les Helvétes : les colonies Équestris et Raurica ; sur le Rhenus, peuplades germaniques habitant cette province : les Némètes, les Triboques, les Vangions ; puis les Ubiens, la colonie des Agrippinenses, les Gubernes, les Bataves, et ceux dont nous avons parlé à propos des îles du Rhenus."


Sources épigréphiques

Reims (AE 2016, 1069)
...] / L(VCIVS) POM[P(EIVS?)] MINVS[SO] / [ET] MERCVRINA REGILL[I] / [FI]LIA CONIVGIS EIVS / [C]IVES SVLBANECTE[S]

"[...]. Lucius Pompeius Minusso et Mercurina, fille de Regillus, son épouse, citoyens sulbanectes."

Reims (AE 2016, 1070)
[...]ERINI VERI / [...] CIVE(S) SVLBA/[NECTES ...]C() ARTEM [...

"[...] de [...]erinus Verus, [...]. citoyens sulbanectes, [...]."

Senlis (AE 1960, 149 ; 1963, 123)
[T]I(BERIO) CLAVDIO / CAESARI AVG(VSTO) GERMANICO / PONTIF(ICI) M[AX(IMO)] / TRIB(VNICIA) POT(ESTATE) VIII CO(N)S(VLI) IIII / IMP(ERATORI) XVI P(ATRI) P(ATRIAE) CENSORI / CIVITAS SVLBANECTIVM / PVBLICE

"À Tiberius Claudius Caesar Augustus, le Germanique, grand pontife, 8 fois revêtu de la puissance tribunicienne (1), 4 fois consul, salué 16 fois imperator, père de la patrie, censeur. La cité des Sulbanectes, officiellement."

(1) Claude fut détenteur de sa 8e puissance tribunicienne entre le 25 janvier 48 et le 24 janvier 49 ap. J.-C.


Sources:
  • H. d'Arbois de Jubainville, (1903-1906) - "Mélanges celtiques", Mémoire de la Société de Linguistique de Paris, T.XIII, p.71
  • P.-H. Billy, (2001) - "Compte rendu du livre de Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de Lieux de Picardie", Nouvelle revue d'onomastique, n°37-38, pp.335-336
  • P. Brun, (2002) - "Territoires et agglomérations chez les Suessiones", in : D. Garcia & F. Verdin (dir.), Territoires celtiques. Espaces ethniques et territoires des agglomérations protohistoriques d'Europe occidentale, Actes du XXIVe colloque de l'AFEAF, Martigues, 1er-4 juin 2000, Éditions Errance, Paris, pp.306-314
  • X. Delamarre, (2003) - Dictionnaire de la langue gauloise, Errance, Paris, 440p.
  • X. Delamarre, (2023) - Dictionnaire des thèmes nominaux du gaulois (II. Lab- / Xantus), Les Cent Chemins, 570p.
  • M. Durand, (1999) - "Senlis", Revue archéologique de Picardie, NS 16, pp.179-185
  • M. Durand, (2006) - "Topographie et vestiges du Haut-Empire à Augustomagus (Senlis, Oise). Un nouvel état des questions", Revue archéologique de Picardie, vol.3, n°3-4, pp.21-30
  • S. Fichtl, (2004) - Les peuples gaulois : IIIe-Ier siècles av. J.-C., Éditions Errance, Paris, 179p.
  • S. Fichtl, (2013) - "Rome en Gaule : organisation territoriale de la Gaule de l'époque de l'indépendance au début de la période romaine", in : S. Hansen & M. Meyer (Hrsg.), Parallele Raumkonzepte, Topoi - Berliner Studien der Alten Welt 16, De Gruyter, pp.291-304
  • L. H. Gray, (1932-1933) - "De l'origine de certains noms de rues et de lieux-dits de Senlis et de ses environs. Étude étymologique et linguistique", Bulletin de la Société d'Histoire et d'Archéologique de Senlis, pp.1-26
  • J. Lacroix, (2003) - Les noms d'origine gauloise : La Gaule des combats, Éditions Errance, Paris, 240p.
  • A. Piganiol, (1959) - "Une inscription romaine inédite de Senlis sur un socle de bronze", Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 103e année, n°2, pp.450-456
  • J.-M. Popineau, (2020) - "Les Sulbanectes, une approche archéogéographique (Ve s. avant notre ère - Ier s. après)", Compte-rendus et Mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Senlis 2016-2017, pp.11-41
  • M. Roblin, (1963) - "Les limites de la civitas des Silvanectes", Journal des Savants, n°2, pp.65-85
  • Pierre Crombet pour l'Arbre Celtique
  • Julien Quiret pour l'Arbre Celtique

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